De la belle histoire d'amour au crime sanglant.

Des livres, des livres et des livres encore a perte de vue. Autant de livre qu'un homme ne pourrait en lire dans une vie entière. Des romans d'amour au crime passionnel, des tueurs de dragon aux princesses ensorcelées, des encyclopédies et des dictionnaires par centaine dans toutes les langues possibles et imaginable. Les étagères font plus mètre de haut, des échelles aussi hautes que les rangements permettent dans accéder au plus grand nombre d'entre eux. Des informations par centaine de milliers, il y avait tant à apprendre et pourtant si peu de personnes venait ici. Mais tout ne s'apprend pas dans les livres malheureusement des choses simples dons les livres ne parle pas.

Midi sonnait comme a leur habitude les chercheurs et autre occupant de la bibliothèque la quitté pour aller déjeuner. Pendant ce temps dans le couloir une jeune fille marchait lentement le bruit de ses pas résonnaient autour d'elle. Dans ses bras elle tenait plusieurs livres il était plus tôt énorme en tout cas ils étaient presque plus gros qu'elle. Ses maigres bras arrivaient étrangement a soulever le poids de tous ces livres en même tant. La preuve qu'il ne faut pas se fiait aux apparences elles sont souvent trompeuses. Les traits fins du visage de la jeune fille semblait triste, ses longs cheveux noir soyeux glissait sur ses frêles épaule il contraste avec son visage pâle comme la mort. Ses lèvres rouges sang prouvait qu'elle était encore en vie que son visage était juste d'une pâleur à faire peur.

Elle poussait lentement la porte gigantesque et se glissa furtivement dans la bibliothèque comme si elle ne voulait pas être vue. Silencieusement et souplement elle se faufilait dans les rangements pour remettre a leur place les livres qu'elle avait pris il y a quelques jours. Aussi silencieuse qu'un serpent en embuscade elle fit son travail à la perfection. Et pris d'autre livre avant d'aller s'installer une place au milieu du silence presque étouffant de la pièce. Seul le bruit de sa respiration subsistée encore ainsi que celui des pages qu'elle tournait.

"Les Mathématiques modernes", "Les problèmes posés par les mathématiques nouvelles", "Théorèmes et Démonstrations de Mathématiques Supérieures" et bein d'autres livres dont quelques-uns de physique-chimie sont dans mes bras. Je viens de passer ma matinée à la bibliothèque et j'ai parcouru un quart de rayon de plus. Heureusement que la bibliotjèque est grande mais j'espère que je n'aurais jamais à lire des bouquins comme "construire une armoire en 10 leçons" qe j'ai aperçu d'un coup d'oeil en passant entre les multiples étagères de la bibliothèque. On pourrait s'étonner que je n'aie lu qu'un quart de rayon en une matinée quadn on me connait, c'est car dans ce rayon il y avait plus de bouquins de maths que de physique et que pour redémontrer tout ce qui est affirmé dans autant de livres ça demande du temps et du papier. J'ai donc dans mes bras en plus des nombreux livres deux tas de feuilles dont un recouvert de mon écriture en pattes de mouche.

Midi vient de sonner. Les chercheurs et les lecteurs de passage s'en vont. Il ne doit pas rester grand monde. Il y a peut-être quelques personnes comme moi qui sont vraiments passionés par les livres, et que je nomme "liseurs", qui sont restés mais j'en doute. Quoi qu'il en soit, tout est calme. Une bibliothèque est constamment calme, dans des circontances habituelle je veux bien sûr dire, mais il y subsiste un bruit de fond composé de pages qu'on tourne et de respirations ponctué par quelques toussotements ou les bruits accompagnant un changement de livre ainsi que les allées et venues des gens entre les rayonnages, propre à la bibliothèque. Mais maintenant, tout est vraiment calme. Je n'entend rien mais je suis de toutes manières trop occupé à porter une pile de livre qui me dépasse surplombée de deux tas de feuilles vierges ou couvertes de formules et de figures géométriques.

C'est bien les livres, c'est pratique, ça contient plein d'informations, mais en grand nombre c'est lourd et instable. J'ai donc peur à chaque instant de faire chuter cette masse impressionant de connaissances. J'avance, peu sûr de moi entre les rayonnages. Au bout d'un moment de déambulations je passe devant une jeune fille assise en train de lire, je ne savais pas que quelqu'un d'autre que moi était resté. Mal m'en prend de lancer ce coup d'oeil à l'occupante des leiux puisque je sens aussitôt mon pied buter sur un livre posé au sol. Mon équilibre en prend un sacré coup et bat de l'aile puisque je m'étale de tout mon long sur le sol. J'entends les feuilles atterir un peu partout sur le sol de la ibliothèque même si je me doute qe même si je ne les avais pas entendues elle l'auraient fait quand même les en***res et je sens ausssitôt une dizaine de livres d'une deux-centaine de pages s'abattre sur moi.

Gyurgh est le seul mot que j'arrive à prononcer et encore je ne suis même pas sûr qu'il soit compréhensible sous ce tas de bouquins...

Le silence avait pris sa place dans les rayons infinie de livre quand survient un bruit de pas. Il semblait venir par ici lentement, mais surement. La jeune fille plongeait dans sa lecture ne semblait pas les entendre approcher. Sous ses yeux vairons défilaient des mots, qui formèrent des phrases et les phrases à leur tour devenaient des paragraphes entiers. Elle lisait, elle voyait non mieux elle semblait la vivre pleinement l'histoire quand un grand bruit la sortie de sa lecture.

Redressant vivement la tête elle vit un livre plus tôt énorme lui fonçai dessus. Il pleut des livres maintenant ? On peut dire que dans une bibliothèque ce n'est pas rare de voir des livres, mais de là a ce qu'il vous tombe sur la tombe sur le coin de la tête certainement pas. Elle avait eu à peine le temps reculé son visage pour ne pas se prendre le livre en plein visage. Le livre alla rebondir sur sa poitrine pour finalement s'écraser sur ses jambes. C'était plus tôt douleureux de se prendre un livre de 200 pages sur la poitrine. Kawai inspira à fond, ses mains se crispaient sur les pages du livre qu'elle lisait on croyait presque qu'elle allait les déchirer. Elle regarda plus en détail le livre après c'était un livre de mathématiques. Qui pouvait bien lire ça c'était sans intérêt et totalement incompréhensible. Enfin pour elle ça l'était, elle fit une petite grimace posa son livre à côté d'elle et chercha du regard le petit plaisantin qui le lui avait balancé. Elle se redressa et vit une pile de livre tous semblait parlé de math. Elle remarqua alors Illuminador qui se trouvait dessous il l'avait sans doute pas fais exprès s'il s'était retrouvé par terre. Elle lui tendit la main pour l'aider à se relever.

"Apparemment tu as une passion pour les maths et les livres qui pèsent une tonne."

C'était une façon de parler pour lui dire qu'il aimait bien les livres qui vous fait mal quand ça vous retombe dessus. Elle fixait le jeune homme de ses yeux vairons, il avait l'air de passer pas mal de temps ici lui enfin c'est ce qu'elle pensait en tout cas, mais elle ne devait pas tirer de conclusion hâtive.

Je m' extirpe tant bien que mal, même plutôt mal que bien, de ce tas de bouquins. J'ai mal partout et je sens que j'aurais au moins une bosse voire plus demain. Je soupire et j'entreprends de me relever quand j'aperçois une main secourable tendue vers moi. Je me rappelle soudain la "liseuse" qui avait inconsciemment détourné mon attention et avait donc provoqué ma chute même si c'était plus de ma faute que de la sienne. Je saisis donc cette main secourable je me relève, un peu gêné et fait mine d'épousseter mon manteau.

"Apparemment tu as une passion pour les maths et les livres qui pèsent une tonne."

J'exécute un sourire gêné et répond :

C'est une manière de voir les choses... J'aime les maths et si je prend moins gros ils ne durent pas assez longtemps et je les ai fini avant d'être arrivé à la chambre.

J'observe ensuite mon interlocutrice. Je remarque que ses yeux sont vairons et le fait qu'un d'entre eux possède une pupille fendue me fait déduire que c'est une chimère et plus précisément une chimère-chat ou une chimère-serpent. Au vu qu'elle n'aie pas d'oreilles de chat ni de queue j'opte plutôt pour la chimère-serpent. Je remarque ensuite les lèvres rouges sang ressortant excessivement sur le visage pâle de la jeune femme. Visage qui, malgré sa teinte fondamentalement opposée, concorde avec ses cheveux noirs. Elle me fait penser à quelqu'un dont le corps serait mort mais qui continuerais à vivre à l'intérieur. Je suis évidemment face à ne gothique. Ça ne me gêne pas plus que ça m'enchante mais au moins je le sais et rien n'est pas bon à savoir.

Tu as tendance à lire quoi toi ?

Je ne parle que rarement aux gens que je ne connais pas. Tout simplement parce que je suis trop occupé dans mes bouquins, à faire des calculs ou encore à aider Jin' pour entamer une discussion avec quelqu'un mais si on entame la discussion avec moi je la poursuivrais bien sûr. J'adresse ensuite un sourire à mon interlocutrice et commence à ramasser mes livres en attendant sa réponse.

La main du jeune homme attrapa la sienne elle sera vivement et l'hissa pour l'aider à se relever. Elle le regarda quelque instant il avait les yeux violets, des lunettes, un visage fin élancé, les cheveux noirs mi-long et le teints assez pâle. Elle le casa de suite il n'avait aucun attribue animal et aucun homme n'a les yeux violet naturellement il était donc Illuminador. Une fois debout elle n'entendit pas un "Merci" sortir de sa bouche il se croyait supérieure au point de croire qu'il n'avait pas besoin d'être polie, mais sans un mot elle continua comme si de rien n'était elle saisissait les feuilles blanches qui s'était éparpillé un peu partout autour de l'endroit où il avait chuté. Son écriture était fine et totalement illisible en tout cas pour elle ce n'était déjà pas facile les maths alors avec une écriture pareille il y avait que lui pour arriver à se relire. La question du jeune homme resta en suspend quelque minute le temps qu'elle est fini de ramasser toutes les feuilles. La chimère se releva et posa les feuilles sur un bureau.

"Mes lectures et mes centres d'intérêt sont toute autre. Je suis plus livre fantastique et grand classique de la littérature. Mais ce moment je lis les Robin des bois, Le roi Arthur et les chevaliers de la table ronde, ainsi que d'autre histoire fabuleuse ou s'affronte dragon et prince dans un combat jusqu'à la mort. Mais cela ne doit pas être fort intéressant pour toi enfin tu me dis si je me trompe."

Elle posait sa main sur l'énorme livre qu'elle avait déposé. Celui-ci était un conte ou s'affronter dragon et chevalier pour l'amour d'une belle princesse. Un livre énorme à la couverture épaisse et marron, aux pages jaunie par le temps. Elle aimait les vieux livres si on peut dire ça comme ça. Elle se pencha ensuite pour l'aider à terminer de ramasser les quelque bouquin qui restait encore par terre. Elle les posa sur le bureau avec les feuilles qu'elle avait déjà ramassé.

Elle m'aide à ramasser, c'est sympa. J'en connais pas mal qui ne m'aurait même pas aidé à me relever et j'en fais partie. J'ai beau être sympa je m'intéresse rarement aux malheurs des autres. On finit de ranger puis elle me répond :

"Mes lectures et mes centres d'intérêt sont tout autres. Je suis plus livres fantastiques et grands classiques de la littérature. Mais ce moment je lis les Robin des bois, Le roi Arthur et les chevaliers de la table ronde, ainsi que d'autres histoires fabuleuses ou s'affrontent dragons et princes dans un combat jusqu'à la mort. Mais cela ne doit pas être fort intéressant pour toi enfin tu me dis si je me trompe."

Je n'ai jamais rabaissé les classiques littéraires. J'en ai lu quelques-uns avant de commencer à m'intéresser au maths. Justement si je me suis intéressé au mathématiques c'est justement pour avoir une occupation qui me prenne du temps. Démontrer tout ce qui est contenu dans un bouquin de maths prend du temps même pour moi. Avant je lisais le même genre de livres qu'elle. Assez intéressant mais une fois lus on ne peux pas développer dessus. Les maths on peut les fractionner et essayer d'assembler les fragments d'une autre manière pour voir si le résultat est différent. Ça permet de s'occuper grâce au livre même après l'avoir lu.

Je pose sur la table les dernières feuilles et je dit à mon interlocutrice :

Merci de m'avoir aidé, j'aurais pu me relever et ranger tout seul mais ça fait plaisir de voir que tout le monde n'est pas comme moi et que certains aident les autres.

Je suis fier, trop fier pour admettre qu'on puisse me faire le moindre reproche. Ce qui inclut donc aussi d'être poli ainsi que de reconnaître ce que les autres peuvent considérer comme des défauts. Personnellement je ne trouve pas que le fait de ne pas aider les autres soit un défaut. Juste un trait de caractère.

J'ai lu les classiques comme Robin des Bois, le Roi Arthur et autres contes médiévalo-fantastiques, je les aimes bien mais ils ne m'occupent pas assez longtemps et ils n'entraînent aucuns moyens de réflexion intense après lecture pour moi.

Je réalise alors que je ne sais rien sur mon interlocutrice autre que son apparence. Si je veux au moins savoir son nom je sias que je vais devoir me présenter moi aussi.

Au fait, je ne me suis pas présenté, En-Hebe Kern, Illuminadores. Et à qui ai-je l'honneur ?

La chimère fixait assez étrangement Illuminador il avait sacrée toupet lui on ne peut pas dire qu'il se prenait pour une merd* en tout cas, il pensait certainement être le plus beau, le plus fort et le plus intelligent hein !? Elle venait de remarquait qu'il portait des lunettes les Illuminador n'en avait pas besoin en général !? M'enfin bon tout le monde fait des erreurs comme elle quoi. La jeune fille se fit silencieuse pendant quelque minute contrôlent ses envies de meurtre. Il faisait partie de ses personnes qui avait toutes les privilèges dans cet institut ça la mettait en rogne, mais son visage terne et sans couleur resta dés plus fermé ne montrent aucune émotion ou réticence envers lui. C'était tout à fait hypocrite de ça par mais peut importe elle ne voulait pas avoir de problème avec les directeurs de cet endroit. Puis même s'il lui avait un peu tendu la perché pour qu'elle le frappe, mais elle ne le ferait pas ce n'était pas dans son caractère d'être violente.

"Kawai Kisu, chimère Serpent... Je suis plus que fier de ne pas vous ressemblez. Bien que toutes chimères aimeraient avoir votre place et votre rang. Sauf moi..."

La jeune fille prit un accent japonais pour dire son prénom correctement et avait dit avec toute franchise se qu'elle pensait. Simple respect pour son créateur qu'elle avait tué sans le vouloir en fait. C'était étrange comme par moment son créateur lui manquait. Il lui avait tout appris en quelque sorte il lui expliquait tout de A à Z quand elle était petite bien qu'elle ne retienne rien ou pas grand-chose. Puis elle avait 10 ans quand elle atteint les 11-15 ans il passait moins de temps avec elle, c'est l'âge ou généralement on commence a se rebellé un peu contre celui qui nous a donné la vie. Enfin il était mort maintenant par sa faute certes, mais peut importe la vie continue si cela est ainsi c'est que ça devait l'être.

Désolé du retard, j'ai alterné manque d'inspiration, absence et oubli de passer ^^''

Elle n'aime visiblement pas beaucoup les Illuminadores, Je pense la comprendre... A l'Institut les chimères sont rabaissées comparées aux Illuminadores. Mais moi je me moque de tout ça. Je suis bien sûr fier d'être un Illuminadores mais je met tout les autres -ou presque- sur un même pied d'égalité; en dessous de moi. Bien sûr certains sortent du lot, comme White par exemple, mais en règle générale je n'ai aucun mal à avoir largement plus de connaissances qu'autrui. Je soupire, Malgré l'idée reçue je pense que pas mal de chimères ne "nous" envient pas mais au contraire "nous" méprisent. Quand je dis "nous" je parle bien sûr des Illuminadores. Bien sûr une grande partie des Chimères nous envie, certains nous craignent, d'autres s'en fichent, et certaisn nous méprisent. Ce qui nous fait quatres "parties", La partie majoritaire étant les envieux, celle qui suit les méprisants, puis ceux qui s'en fichent, et une petite partie nous craigne... Des schémas et des calculs apparaissent momentanément dans mon esprit et j'évalue -très- approximativement à un cinquième, les chimères nous méprisant. Ce qui est déjà un bon score.

Tu n'es pas la seule à ne pas vouloir "notre place et notre rang"... Et je n'ai aucun préjugés envers toi alors essaie de ne pas en avoir vers moi... puis il ajouta par politesse s'il te plaît

[Un peu court U_U]

La chimère regardait de ses yeux vairons le jeune homme. Il avait une assez bonne estime de lui en tout cas il ne perdait pas facilement le nord. Il connaissait bien son statut et savait certainement comment le tourner à son avantage. Silencieuse Kawai regarda un instant l'immensité de la pièce qui les entouraient. Il y avait une chance sur mille que ses deux la s'apprécie, Kawai était ainsi renfermée sur elle-même et elle ne détestait pas vraiment les Illuminadors elle détestait juste ce qu'il représentait pour l'institut. Cette perfection pour laquelle il a fallu sacrifier tant de choses, tant de vie humaine et animal. Tout cela pour le bon plaisir des scientifiques fous qui vivaient ici... Mais pourquoi avoir besoin d'être parfait, car nous sommes tous a notre façon unique et différent. La chimère ne le quittait pas des yeux pendant ce petit moment de reflexion. Ses lèvres rouges comme le sang se mirent à bouger lentement le son de sa voix était neutre, mais à la fois doux et colérique. Tout cela ne rimait à rien pour elle.

"Nous sommes tous différent et nous avons tous notre façon d'être parfait. Mais il n'y a que vous, qui ayez le droit d'être appelée des choses parfaites. Cela est totalement injuste pour nous qui sommes voués à être des sous être alors que nous sommes venus au monde comme vous. Toi et moi nous savons, que nous n'avons pas notre place ici nous sommes incomplet, ni humain, ni animal alors que somme nous ? On dit que tu es un être supérieure et moi un être inférieure alors que sang qui coule dans nos veine son le même. "

Lui l'intellectuel de génie trouvait-il cela juste et dans l'ordre des choses. Lui qui savait tant de choses, lui qui avait certainement lut les livres des plus grands philosophe en s'ennuyant à mort. Trouvait-il ça juste que quelqu'un qui était né de la même façon que lui et avec le même sang n'est pas le droit d'être dites elle aussi parfaite. Que pensait-il dû faite qu'il n'ait pas sa place dans ce monde parce qu'il était à la fois humain et animal et qu'il ne pouvait pas vraiment appartenir à une race distinct. Nous ne somme ni animal ni êtres humains alors que sommes nous ?