Frelie Mimosa [ 100%]

Il fait froid, très froid, si froid… La neige tombe, elle semble ne jamais vouloir s’arrêtais, le vent souffle… Tout est blanc… C’est beau… Mais pourtant, il fait si froid. Pourquoi faut il qu’il fasse si froid ? Loin, là où nul ne peut imaginer que la vie se trouve, là ou nul ne peut penser découvrir la vie… très très loin de toute civilisation … Plus loin que vos yeux ne vous permettent de le voir. Sous le froid glacé de l’hiver, sous la neige de décembre. A demi morte, le souffle presque coupé par le froid qui semble lui glacé le cœur, une petite fille. Emmitouflé dans une couverture qui ressemble plutôt à une vieille paillasse, lutant pour rester envie, une petite fille est en train de mourir de froid. Pour elle, le temps s’est arrêté, ne reste que ses lèvres qui grelottent, ses petits doigts, devenue bleu, ses orteil presque glacé. Plus rien d’autre, il faut survivre, il ne faut pas se poser de question, non, luter, toujours, encore, lutter pour rester en vie, lutter pour ne pas offrir son corps au froid, lutter … La petite fille en a l’habitude de se battre, résister sous les coups de cet homme qui lui a servi de père, résister quand durant des heures il fallait marcher… Lutter, et si… si pour une fois, elle renonçait ? Si pour une fois elle décidait de ne pas lutter, de s’offrir.

Dans cet même contré quelques année, je ne saurais vous dire combien, avant.

Tranquille, simple et paisible, ainsi est al vie de ces deux vieillard qui vivent en retrait de toute société, ho… vous savez, les temps on changé, je dirais même, les temps ont trop changé, rien n’est plus comme avant, les mentalité ont évoluer, dans le bon ou le mauvais sens ? Je ne me permettrais pas de vous répondre, mais pour deux vieille personne comme Eglantine et Maxime tout a simplement trop évoluer, eux, sont resté dans le temps d’avant, ce temps.. Ce temps qu’il est bon de se souvenir quand les journée sont froide et que le feu crépite gaiement dans la cheminé. Oui, qu’il est bon de s’asseoir dans un fauteuil mou en regardant la neige tombée, alors que sur les fenêtres, le givre commence à prendre place. Qu’il est bon de sentir la présence de gens aimé si près de sois et de s’endormir sous al douce chaleur de la cheminé qui dégage une douce odeur… Oui Mr et Mme Fender profitaient bien de leur retraite reculée de tout, là, ils se sentaient si heureux, si bien, ils savaient qu’ils pourraient ainsi mourir en paix, en amoureux sous ce toit qui depuis de longues années les abrite… Main dans la main, paisiblement les deux vieillard semblait s’enfoncer doucement dans un sommeil profond, quand trois petits coup frapper sur la lourde porte d’entrée en bois, vinrent les tirait de leur somnolence… Alors, sur ses jambes chancelantes, Eglantine se lève et se porte vers la porte, toujours avec une lenteur qui surprendrait cette population où tous doivent se presser elle enclenche la porte…

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Trois années, ont passé, trois longue année, douce, qui sont passées si vite, trois année depuis que la vieille Eglantine a trouver au seuil de sa porte. Ca, Frelie ne le saura jamais mais la douce grand-mère qu’elle appelé Tine, l’avait baptisée, elle, Eloïse… Ho, si Frelie l’avait su, comme elle aurait aimé, comme elle aurait aimé se souvenir, de ses trois années, qui furent les plus douce de sa vie, de ses trois années, qui la comblèrent de bonheur… De ses trois si belle année… Seulement Frelie était étrange, et bien que cela ne gêne en rien ceux qui lui servait a présent de grand parent, elle, ça la perturbé. Comment être une petite fille normal, lorsqu’on ne sait de sa personne, ni son âge, ni son nom ou prénom ni même ce que l’on à vécu avant d’arriver ici… Seul les souvenirs marquant d’un homme en train de la frapper et de lui infliger les pires souffrances morales et physiques revenaient sans fin hanter ses rêves les plus dévastateurs… Seulement toute les belles choses ont une fin, trois ans de bonheur, c’était trop beau pour que cela dur, au fond ‘elle-même Frelie le savait, elle savait que bientôt le jour, où un nouveau choc viendrait perturbé sa vie arriverait bientôt…

L’hiver, comme tout ceux passé dans cette montagne, était froid, très froid, si froid… Frelie s’en était allé, comme à la demande de Tine chercher la biquette qui était resté dehors, sous ce terrible froid… Il fallait la rentrer à l’intérieur où elle allait finir par mourir. Frelie, si frileuse rentrai en hâte dans la petite maison, traînant à sa suite la chèvre grelottant de froid. Le temps d’aller la chercher de revenir… Quinze minutes peut être vingt… comment étais-ce possible… Non… La tête de Tine reposait sur l’épaule de Maxime. Ils semblaient si reposait tout deux ainsi placé… Pourtant Frelie eu beau les secouant jusqu'à en avoir le souffle coupé, rien ne se produisit, il s’étaient endormis dans un sommeil duquel il ne se réveilleraient jamais… Mort…

Mort… ce mot hantait les jours, les nuits, les rêves et les pensées de la jeune fille, c’était di brutal comme mot, si… Laid. Ce mot n’inspirait que peine, terreur et peur, alors pourquoi avait il fallut qu’il s’abatte sur elle, pourquoi maintenant alors que enfin il lui semblait toucher du doigt ce bonheur don elle avait tant entendu parlé, c’était si injuste… pourquoi la vie était elle aussi injuste avec elle ? Avait elle, dans un passé lointain fait du mal à quelqu’un, avait elle méritait d’être de la sorte punie, de ne jamais connaître ce mot, encore un mot, pourquoi tant de mot, pourquoi certain ont un sens si lourd de sens tandis que d’autre semblent sonner si faux aux oreilles de la jeune fille. Se pourrait il que dans ce passé qui lui était complètement inconnu elle ait… Tuer quelqu’un ? Gâcher la vie de quelqu’un qui contrairement à elle méritait de vivre en paix ? Est-ce possible ? Et alors aujourd’hui, seule tout se répercute sur la pauvre fille, qui seule, pied nue marchait sans but dans let univers de coton. Tine lui avait un jour parlé de la mort, elle avait dit, que, viendrait un jour, se jour se rapprochait à chaque second, où Frelie serait seule, seule dans ce monde impitoyable. Mais jamais ho non jamais la jeune fille qui goûtait enfin au délicieux parfait que dégageait celui du bonheur, aurait pu penser que ce jour serait si proche…

Ciel que c’était froid, tellement le froid engourdissait les muscle de Frelie, elle ne sentait peu à peu plus le bout de ses orteils. Elle ne se souvenait déjà plus ce qu’était de pouvoir bouger librement ses articulation sans avoir à crier sous le coup de la douleur. Marcher toujours, marcher, ne lui avait on pas appris dans un lointain passé que la marche était la clé de la réussite « Muscle toi les pieds, les jambes, les cuisses, et tu iras loin dans la vie ma fille, car marcher est la clé de la réussite ! » Mais qui avait donc pus lui dire une pareille chose ? Qui avait bien pus utiliser ce terme ? « Ma fille » qu’est ce que ça voulait dire ? C’était pensé, réfléchir et toujours marcher qui faisait que la demoiselle rester en vie. Comment se faisait il qu’après plus de quatre longues, très longues heures de marche dans la neige glacé et pieds nus, Frelie ne soit pas morte ? Comment un pareil exploit était il possible ? Frelie elle-même l’ignoré, l’avait on doté d’un force surhumaine pour ensuite la faire souffrir, la mettre à l’épreuve de cette même force ? Etais-ce un signe du seigneur ? Souvent Tine parlait d’un homme qui serait dans le ciel, et de là où il se trouve, il verrait tout le monde, la terre entière, il serait capable de veiller sur n’importe quel être humain où qu’il se trouve sur la planète bleu. Les genoux de Frelie tombent aux sol,il était si dur de supporter son propre poids, jamais la jeune fille ne se sentis aussi lourde, si lourde… A genoux par terre, la demoiselle se surpris à croiser ses mains devant son visage et fixé ardûment le ciel. Toi celui qu’Eglantine nommé autrefois « Seigneur » t’ais-je dont fait du mal ? Pourquoi te refuse tu à veiller sur moi comme tu le fais sur le reste du monde ? Pourquoi donc ? Pourquoi… Pourquoi moi ? Frelie avait du mal à comprendre, trop de choses se bousculaient dans sa tête…

Impossible, tout devint flou, très flou, si flou… Plus rien, que du blanc, partout, à gauche à droite, devant ou derrière moi il n’y qu’une éblouissante lumière blanche qui répands sa bienveillante lumière sur Frelie. Et puis… Plus rien, plus de lumière blanche plus de douce chaleur qui vous revigore, noir, à nouveau du noir, partout, qui alourdit le paysage. Paysage ? Le temps d’ouvrir les yeux, Frelie se rend compte qu’elle est à l’arrière d’une chariote, sur une petite paillasse de paille, ça gratte, ce n’est pas confortable, mais portant à nouveau ses petits doigts sont en mesure de bouger. Devant il y a deux hommes ils mène un cheval qui semble épuisait. Frelie lève les yeux, regarde à gauche, mais ne voit toujours que de la neige partout. « Somme nous encore dans ces montagnes maudite qui m’ont pris la vie et le bonheur ? » se demande la jeune fille. Pas le temps d’avoir une réponse que le cheval s’arrête. Les deux hommes descendent, ils sont effrayant, les deux sont barbu, l’un est plutôt maigrichons et grand tandis que l’autre, plus petit et quelque peu en surpoids, ils ont un air méchant. L’air de celui qui s’apprête à commettre une mauvaise action et semble prendre un malin plaisir à cela. Le maigrichon envoi son compère plus loin, il lui dit d’aller faire un tour. Frelie a peur, elle ne sait pas ce qui l’attend, elle se méfit des hommes, les peu de souvenirs qui lui restent sont ceux d’un homme qui la frappe. L’homme monte avec elle à l’arrière de la charrette et la regarde de haut en bas en se léchant vulgairement les lèvres, il semble avoir envie de quelque chose. Frelie ne connaît pas assez la vie pour comprendre ce que veut faire l’homme. Ni une ni deux, l’homme se jette sur elle et l’empoigne brutalement, incapable de bouger, Frelie a peur. Violemment l’homme arrache els vêtement de la demoiselle et commence à la toucher, comme un rustre, il prend du plaisir à souiller cette pauvre enfant. Frelie, voudrait crier, mais elle ne peut pas, que faire d’autre qu’attendre ? C’est si dur, ça fait mal, une énorme douleur prend possession de la jeune fille, vers le bas du ventre, sa reprend, encore et toujours de violent coût lui brise le corps et le cœur. Ciel que c’est douloureux, mais que faire. Alors qu’enfin la paix revient, que tout semble être finit, voila le deuxième homme qui revient… C’est à son tour, à son tour de prendre du plaisir, à son tour de souiller une pauvre innocente. Quand enfin les deux hommes ont fini. Ils jettent l jeune fille avec la paillasse dans la neige. Bien sur, ils pourraient la garder et recommencer à volonté, mais, elle risque de se plaindre, de faire du grabuge au village, ce ne serait pas malin, mieux vaut la laisser là, son corps recouvert par la neige, elle moura en silence.


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Il faisait froid, très froid si froid… Lorsque les chercheurs retrouvèrent la petite fille… Petite fille ? Ou bien adolescente ? Il était impossible de déterminer son page, presque tout son visage avait pris une teinte bleue…La fille disons… Etait presque entièrement congelé, de la tête au pied… Qu’allait ils faire d’elle ? Encore une épreuve à passer ? Encore souffrir ? Pourquoi toujours souffrir ?

Au réveil de la demoiselle, on ne lui expliqua que brièvement où elle se trouvait… Un tas de mots se heurtèrent à la barrière d’inconprehension qu’elle semblait s’être forgé. Illuminadore ? Qu’est ce que ça pouvait bien être ? Le fait est que dans les jours qui suivirent Frelie comprit qu’elle n’était plus la même, dans son corps et dans sa tête tout semblait avoir était modifié… Frelie comprit aussi que, ce qu’elle avait toujours rêvé de pouvoir faire, depuis qu’on l’avait modifié de part et d’autre, elle était capable de le faire… Frelie pouvait se fondre dans le paysage … Invisible ? Peut être bien, mais en tout cas, dès qu’elle le souhaitait pus personne ne la voyaient, rare sont ceux qui d’ailleurs ont déjà vu Frelie dans l’institut, si discrète est la jeune fille.Mais pourtant bien que la mémoire de Frelie lui joue d’innombrable tour de passe tous plus désagréable les uns que les autres, la jeune fille se souvient clairement des trois dernière année qu’elle a passer avant que les scientifique ne la trouve, a moitié morte dans la neige de cette petite montagne, ho oui, elle souvient bien des trois merveilleuses année passé avec Eglantine et Maxime, ces deux merveilleux personnage dont elle aime se remémorer els souvenir quand le temps des mélancolie revient… Elle se souvient aussi de ces barbes, ceux qui l’ont ramené à la vie pour ensuite lui voler son âme, ceux qui l’ont souillé au plus profond d’elle-même, ce qui ont pris plaisir alors que elle aurait préféré mourir durant ces instants, et ceux qui enfin, l’ont laissé pour morte dans une neige glacé, nue n’ayant sur elle qu’une vulgaire paillasse qui ne servait strictement à rien. Oui Frelie doit la vie à l’institut, mais n’est ce pas lui aussi qui l’empêche de sortir de ses murs ? Un jour… Frelie s’en est fait la promesse, un jour elle sortira, et là, elle dénoncera, elle dénoncera au monde entier ce que derrière les murs de ce qui doit sûrement être considéré comme une organisation’ Etat, se cache le plus grand crime contre l’humanité que le monde n’ai jamais connut. Non, Frelie n’est pas « malheureuse » dans cet institut, mais dieux c’est que si un jour, elle sort… Lui seul sait à quel point certains souffrirons. Sage, Frelie l’est, rancunière tout autant. Non la vie est trop injuste, la vie fait du mal au gens sans qu’il ne le mérite, il est temps que la roue tourne… Quand se jour arrivera… Vous ne serez pus là pour vous mordre les doigts.

Un rêve, mais comment imaginer que tout cela ne fut qu’un rêve un simple rêve ? Rien de réel non ? Un pur délire de comateux ? C’est impossible à croire … mais c’est pourtant bien ce qui est arrivé a Frelie, rien de tout le peu de souvenirs qu’elle a n’est arrivé, à sa « naissance » la jeune fille est tombé durant trois longue années dans un profond coma, un coma si réel, un coma d’illuminador… Un coma qui a forgé son caractère. Pour ne pas perturber un caractère déjà fragile rien ne lui fut révélé, mais rien ne fut vrai pour autant… Rien… Un rêve.

Caractère_


Pourtant si étrange est celle qu’on ne voit pas. Frelie est une jeune fille très compliqué, ne sachant elle-même pas qui elle est il très difficile de la cerner et de comprendre ce qui se cache derrière sa frimousse qui ne dit pas un mot sur ce qu’elle est vraiment. Quand on voit Frelie, pour ceux qui arrivent à la voir, on pense tout de suite à une jeune fille, timide, sage, qui ne dira jamais une mot de travers, qui suivra le troupeau sans broncher. Serais ce vraiment à tord ? Non, Frelie est avant tout une jeune fille très discrète, si vous avez un jour la chance de la voir plus de quelque seconde passer dans un couloirs, il serait bon pour vous de la garder quelques instants et de la questionner, serait-ce très utile ? Je ne sais pas…Frelie est très timide, ou plutôt, disons qu’elle n’aime pas parler, parler est si inutile selon elle. Elle préfère observer, elle passe son temps à observer, regarder les gens passer, essayer de comprendre ce qui se passe dans leur tête, elle arrive d’ailleurs très bien à faire cela. Mais jamais vous ne la verrez aller vers quelque pour entamer la conversation ho non jamais…

Seule, Frelie apprécie l’être, reposé, tranquillement dans un coin, un endroit que personne ne connaît un endroit prospère à la réflexion. Ai-je dis que Frelie passe la moitié de sa vie à réfléchir ? Réfléchir, penser, se demander pourquoi la vie est fait ainsi et pas autrement, pourquoi est elle là dans cet endroit maudit, dans cet endroit secret où on a fait je ne sais quoi sur elle. Pourquoi ne se souvient elle pas de ce qui lui est arrivé pourquoi tant de question…

Invisible, toujours, Frelie ne veut pas qu’on la voit elle ne tiens pas à se faire remarquer, elle veut simplement vivre sa vie comme elle vient puisqu’en réalité Frelie ne vit pas sa vie elle la subit, tout les jours sont si répétitif, si barbant, Frelie est las, las de tout ce qui défile. Spectateur de ce grand cahot que devient le monde Frelie ne le supporte plus, chaque jours un peu plus, Frelie se transforme en statue, statue qui observe de loin, de très loin tous ces gens qui s’agite autour d’elle comme pour montrer à tout prix à quel point elle est inutile.

Sage ? Frelie ne s’en rend pas compte non, comment pourrait on se rendre compte de sa propre sagesse, oui, la demoiselle, la vieillarde, la femme, l’enfant ? Est très sage, elle voit le monde d’une manière… si pur, si seulement les hommes pouvait le voir de la même manière qu’elle, tout serait plus doux, plus fruité lus lumineux, plus chaud… Si un jour vous avez l’occasion de discuter avec Frelie, écoutez mon conseil, ne la laissez pas filer, vous apprendrez en quelques minutes passé avec elle, bien plus que vous n’aurez appris en toute une vie. Discuter avec Frelie, c’est changer.




Physique_


Frelie est si particulière, même a vue d’œil il est difficile de savoir quelle âge elle a, entre son visage doux et frai qui pourrait laisser penser qu’elle vient d’avoir quatorze ans et sa petite taille qui lui en donne dix, ou encore ses long cheveux qui semblent avoir perdu tout éclat qui là, laisseraient penser que la jeune fille a quatre-vingts ans. Frelie est là encore sur le plan physique aussi difficile à cerner que sur le plan moral.

Si nous commençons vers le haut nous allons bien évidemment tomber sur la longue chevelure de Frelie, comme le feu qu’elle aime tant la couleur de cheveux de Frelie est d’un roux profond mais pourtant si terne. Comme une vieille femme dont les cheveux seraient las de se trouver sur sa tête depuis si longtemps, ceux de Frelie ont depuis bien longtemps perdus tout éclat ou signe de bonne santé, si on peut dire que des cheveux sont en bonne santé bien sur. Quand à leur taille, ils sont longs, très long, ils lui arrivent bien plus bas que les épaule et à peine plus haut que les fesses. Frelie en prend autant soin que la paire de chaussette qui traîne dans son placard et qu’on lui recommande de porter depuis plus de … de longues année. Jamais vous ne verrez la moindre babiole pendre aux cheveux de Frelie, ni même un chouchou attaché. Non rien, comme une vulgaire serpillière ils continuent à lui traîner dans le dos.

Si nous descendons un peu plus, nous tombons sur ses yeux, yeux qui emblent en parfait harmonie avec ses cheveux mais pourtant si différent, tout comme ses cheveux, ils ont une douce teinte orange, depuis quand sont ils ainsi ? Il semble à Frelie que part un temps ils furent brun et non à moitié rouge, mais comme vous le savez, il ne faut absolument pas se fier à la mémoire de la jeune fille. Ou bien peut être, ont-ils vraiment étaient ainsi, brun, et l’une de ses expérience diabolique les a changé… Dieux seul le sait, ou dirai-je plutôt puisque ceux sont eux qui jouent dieux ici, les scientifiques seuls le savent. Ses yeux quand à eux, s’opposent à ses cheveux par leur éclat, par cette étincelle qui brille en leur intérieur, par ce pétillement de vie et cette grandeur, oui cette grandeur, les yeux de Frelie sont si grands, qu’il captivent tout les regards qui se trouvent près d’elle et lui donne toujours un air très intéressé.

Toujours plus bas, nous trouvons, un nez, oui un simple nez, que dire de plu sur cette partie du corps, qui, il faut bien l’avouer à moi d’être un personnage de BD n’a rien d’extraordinaire. Celui de Frelie est simple petit, comme celui d’une petite fille d’une enfant, pas encore développé, pourtant celui de Frelie devrait l’être depuis le temps non ? Quel temps ? Toujours cet absurde question sur le temps.

La bouche ? Là encore, je ne vais pas écrire des lignes pour dire que Frelie à la bouche d’une enfant de 5 ans, petite, avec des lèvres encore douce et mince.

Quand à sa taille, et bien Frelie est petite très petite, elle ne dépasse pas le mettre 39 et elle ne cherche pas à devenir plus grande, ou n’est nullement complexé par sa petite taille. A quoi bon ? Vous voulez savoir quoi d’autre, elle fait du combien ? Bon allez pour vous montrer à quel point elle est petite… Du 34 .






.†. Identité.†.[/center]


• NOM : Par ce que lorsque l'on m'a découvert je sentais le mimosa, on m'a donné ce nom.
• PRÉNOM(S) : Frèle et gelé j'étais, Frelie, je serais.
• SURNOM : Est ce bien necessaire? Comment surnomer ce que l'on ne voit jamais?
• DATE DE NAISSANCE : 7 juillet 1944
• AGE : d'aparence, 15 ans.
• SIGNE ASTROLOGIQUE : Encore un nouveau mystère à ellucider.
• AGE AUQUEL VOTRE PERSONNAGE EST ARRIVE A L'INSTITUT : Elle y est née.

• NATIONALITÉ : Jeune fille des montagnes, est ce une nationalité?
• LIEU DE NAISSANCE : ZERO
• LIEU DE VIE : D'après les quelues souvenir de la jeune fille, elle aurait vécu dans une sorte de petite cabane, isolé du monde avec deux vieilles personnes. Reste à prouver...

.†. Petits Détails Importants Ou Pas.†.

• RACE : Illuminadores Je peux??
• ANNÉE : Très nombreuses
• POSTE : Effacé...
• MATIÈRE(S) PRÉFÉRÉE(S) : Tout cela lui est d'aucune importance.
• MATIÈRE(S) DÉTESTÉE(S) :
• NOMBRE DE PIERCINGS : Zero
• COULEUR DE CHAUSSETTES : Frelie aime se balader nus pied, elle trouve cela fortement agréable.
• LE PRÉNOM QU’IL N’AURAIT JAMAIS VOULU PORTER : Comment répondre à cette question lorsqu'on ne conait même pas son vrai prénom...
• POSITION DANS LAQUELLE IL DORT : Mains posé sur le ventre.
• LUNETTES OU VERRE DE CONTACT : Aucun
• COULEUR PRÉFÉRÉE : Le Blanc, armonieux et pur.
• SAISON PRÉFÉRÉE : L'été
• SAISON DÉTESTÉE : L'hiver
• NOMBRE DE RELATION(S) SÉRIEUSE(S) : Qu'est ce?
• UNE MAUVAISE HABITUDE : Ne jamais se coiffer, marcher pied nus.

Finit =D

Tout est bon, Mimosanounette 8D *va se cacher*

Par contre, un truc me chiffonne... Ca n'est pas possible qu'on ne sache ni son age, ni sa date de naissance, ni son lieu de naissance...

Explication : Les illu sont créés, donc ils naissent a labo. Donc le lieu de naissance est obligatoirement dans Zero. Ensuite, sa date de naissance a été enregistrée dans les dossiers de la réserve. Vois tu, tous les illus et toutes les chimères ont un dossier spécial sur eux. Donc la date de naissance est connue. De ce fait, son age aussi.

Ensuite, Les illus et les chimères sont "enfermés" dans Zero, ils ne peuvent en sortir. Après, si tu veux vraiment faire une exception, je pourrais essayer d'en parler avec Râ.... Mais si possible, on aimerait que les exceptions restent exceptionnelles x) !

Il faut qu'elle soit née au labo? Mais alors toute mon histoire est fichue XD
J'ai tout basé sur le fait qu'elle ne savait rien de sa vie d'avant, donc oui, si Râ est d'accord, peut être que je ne sait comment, elle se soit échapper, ou quelque chose dans le gren, je vais mettre une date mais il se peut que ce soit très vieux ce n'est pas grave?

Non, du moment que tu mets son age d'apparence.... Mais je sais pas.... Tu peux faire genre elle est née a Zero, mais elle tombe tout de suite dans le coma, et pour une raison commeuh... elle est malade contagieuse pour les illus, un truc comme ca x), on la transfère hors de l'institut le temps de trouver l'antidote de sa maladie... Un truc comme ca ...?

Je pense avoir trouvé la solution, je fais ça demin après le brevet =D

Voila c'est entièrement finit =)

Merci Aba =)

Change moi encore le lieu de naissance, qui est ZERO, et ca sera tout bon xD *chieuse de service*

=D C'est bon 8D

Validée, Illuminadores Psychique !