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 Kam Lesther -- CHIMÈRE -- /!\ Homophobes s'abstenir.[FINIE]

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2 participants
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Kam Lesther
Chimère Serpent
L'Hivernal Nymphomane
Chimère SerpentL'Hivernal Nymphomane
Kam Lesther


Féminin
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Age : 33
Surnom : Tempête de neige
Humeur : Massacrante
Date d'inscription : 12/06/2008

Les Secrets
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MessageSujet: Kam Lesther -- CHIMÈRE -- /! Homophobes s'abstenir.[FINIE]   Kam Lesther -- CHIMÈRE -- /!\ Homophobes s'abstenir.[FINIE] Icon_minitimeJeu 12 Juin - 22:59
Kam Lesther -- CHIMÈRE -- /!\ Homophobes s'abstenir.[FINIE] Kambegl6

--***--

[A young man walks peacefully towards you, his eyes and hair all of an emerald green. He stops in front of you, sits down and says in a neutral voice : «Well, let's get this done quickly... I brought the song you requested of me... You know, the thing that's suppose to represent me?». The teenager get a CD from his pockets and give it to you. There's a CD player nearby...]

--***--


Découvrez Depeche Mode!


--***--

[The song finishes and your attention focuses again on the young man. Seeing you getting confortable, he sighs and says simply : «Let's get this over with... What's your first question?»]

--***--

Kam Lesther -- CHIMÈRE -- /!\ Homophobes s'abstenir.[FINIE] Kamidennf4



    --» VOTRE NOM?
    Mon nom? Ah, Lesther

    --» VOTRE PRÉNOM?
    Kamille. Mais tout le monde m'appelle Kam

    --» VOS OU VOTRE SURNOM?
    Le reptile... Snake... Je sais plus quoi d'autre, y'en a tellement.

    --» DATE DE NAISSANCE?
    Ça fait longtemps que j'ai pas fêté mon anniversaire... Je me souviens juste que c'était au début du moi d'Avril en 1995.
    [Après consultation des fichiers de Kam : 7 Avril 1995 8h36 le matin.]

    --» QUEL ÂGE?
    19 ans... M'enfin je crois.

    --» VOTRE SIGNE ASTROLOGIQUE?
    Le bélier.

    --» ÂGE AUQUEL VOUS ÊTES ARRIVÉ À L'INSTITUT?
    Je me souviens plus. Le docteur dit que j'avais 12 ans, mais je crois que j'étais plus jeune... Beaucoup plus jeune. C'est sans doute pour ça qu'ils veulent pas me dire mon véritable âge à mon arrivée, j'étais TROP jeune.
    [Après consultation des fichiers de Kam : Le sujet avait tout juste 6 ans.]

    --» QUEL EST L'ANIMAL MÊLÉ AVEC VOTRE PERSONNE?
    Le serpent. C'est pas un peu évident? J'veux dire, avec les yeux, les écailles sur le dos et les dents pointues... Je m'étais dit que vous devineriez facilement. Vous êtes pas une lumière vous hein?

    --» VOTRE NATIONALITÉ?
    Hmm... Si je me souviens bien, il me semble qu'il est écrit dans mes fichiers que je viens de Chine. Je n'ai aucun souvenir de mon existence là-bas.
    [Après consultation des fichiers de Kam : Chine, Hong Kong.]

    --» LIEU DE NAISSANCE?
    J'en sais rien. J'imagine que c'est en Chine...
    [Après consultation des fichiers de Kam : New York City, dans un hôpital miteux.]

    --» LIEU DE VIE AVANT L'INSTITUT?
    Le docteur dit que je vivais dans un coin assez pauvre en Chine... Mais je lui fais pas trop confiance. Surtout que je me souviens vaguement de salles majestueuses et d'hommes en smoking...
    [Après consultation des fichiers de Kam : Chine, Hong Kong, dans le manoir famillial de la famille Yukihyo.]

    --» VOTRE FAMILLE?
    Hmm? J'ai aucun souvenir d'eux. Des visages flous et quelques rires joyeux, c'est tout ce qui me vient en tête. Je pense aussi que j'avais beaucoup de frères et de soeurs.
    [Après consultation des fichiers de Kam : Grande famille. 3 soeurs, 2 frères. Le père : Rizu Yukihyo Lesther, moitié américain moitié chinois. Un scientifique renommé pour ses études de la génétique et un employé secret de l'institut. Son travail? Trouver des cobayes pour tester les fusions humaines/animales. Un homme froid, neutre et guidé par la logique. L'argent ne fait jamais de mal non plus... Il épousa sa femme par un mariage arangé entre sa famille et la sienne. Ce fut lui qui vendit son fils pour le test et il ne fit qu'ignorer les plaintes de son idiote de femme. De fortes rumeurs disaient que ce garçon n'était même pas à lui, mais à l'un de ses associés qui aurait agit comme body guard de sa femme lors de l'un de ses nombreux voyages d'affaires. Le père entendit la rumeur et c'est sans doute pour cela qu'il ne ressentit rien en vendant son pseudo fils. La mère : Sakura Yukihyo Sawa, femme de maison. Elle ne termina jamais ses études, car sa famille est encore obsédée par le respect des vieilles traditions. Son manque d'éducation et de volonté la rendit soumise à son tyran de mari. On ne sait pas grand chose sur elle, sinon qu'elle avait maints amants et qu'elle tenta de mettre fin à ses jours plusieurs fois dans les dernières années. Il n'y a aucune information pertinente sur les enfants.]


--***--

Kam Lesther -- CHIMÈRE -- /!\ Homophobes s'abstenir.[FINIE] Kamdtailsiu2



    --» VOTRE RACE?
    Chimère. Le bas de l'échelle quoi.

    --» VOTRE POSTE AU SEIN DE L'INSTITUT?
    Mon... Poste? Vous voulez dire, un genre de métier? Bah, ch'suis un élève alias rat de labo pour ces enfoirés de scientifiques, sinon j'ai pas vraiment de poste ici.
    [Après consultation des fichiers de Kam : Il est un simple élève normal.]

    --» VOS MATIÈRES PRÉFÉRÉES?
    Oula... J'aime pas trop les cours, ça m'ennuis grave et j'ai toujours l'impression d'y perdre mon temps. En même temps, ça me fiche en rogne tous ces cours... Je me dis que c'est ridicule. On est dans un fichu laboratoire et les v'la qui tentent de nous faire croire que c'est une école! Tss ça me fait pitié. Mais j'imagine que j'aime bien les cours de musique... Même si je joue d'aucun instrument.

    --» VOS MATIÈRES DÉTESTÉES?
    Alors là... Je déteste tout ce qui est cours sauf le cours de musique. Surtout le cours de théâtre. Je déteste tenter de faire semblant d'être quelqu'un d'autre. Je suis moi, ça me suffit. Alors pourquoi imiter un autre? Quelqu'un qui a une meilleure vie que la mienne et tout? C'est une perte de temps.

    --» AVEZ-VOUS DES PIERÇINGS?
    Des... Pierçings? Hmm... Je sais pas si je devrais vous dire ça, mais oui... J'en ais un sur le mamelon gauche. Vous devez vous demander pourquoi j'ai fait ça... En fait, c'était plus fort que moi... Il a fallut que je me fasse percer, histoire de montrer un peu de rebellisme. Et puis... Ça a plut à Théodore alors...

    --» LA COULEUR DE VOS CHAUSSETTES?
    ... Vous êtes sérieux là? Bon alors eu... Elles sont souvent vertes menthe ou blanches... Des fois grises... J'arrive vraiment pas à croire que vous me demandez ça, vous êtes sûr d'être un docteur?

    --» PRÉNOM QUE VOUS N'AURIEZ JAMAIS VOULUT PORTER?
    J'sais pas trop... Pour moi, tout est mieux que Kamille. Je sais pas ce qui est passé par la tête de ma mère quand elle m'a appelé comme ça... Elle devait vraiment vouloir une fille. Mais j'imagine que je devrais être content, au moins je me nomme pas Eugène... Je trouve que ça fait un peu vieux jeux.

    --» DANS QUELLE POSITION DORMEZ-VOUS?
    La plupart du temps sur le ventre... Mon dos me fait encore un peu mal depuis qu'ils m'ont fusionné avec ce fichu serpent... Je vous jure m'sieur, des fois ça fait un tel mal de chien que je me demande si ce fichu serpent va pas me sortir des côtes!

    --» LUNETTES OU VERRES DE CONTACTS?
    Aucun des deux. Un avantage de devenir chimère serpent, c'est qu'on obtient la vue super du reptile... Plus besoin de lentilles à vie.

    --» VOTRE COULEUR PRÉFÉRÉE?
    Beaucoup disent que c'est le vert. Mais c'est faux. J'vais vous dire franchement, j'en ais marre du vert. Tout sur moi est vert, ça en devient frustrant. J'aime bien... Le bleu.

    --» LA SAISON QUE VOUS DÉTESTEZ LE PLUS?
    L'hiver. Comme je suis un moitié reptile à sang froid, c'est une saison mortelle pour moi... Le docteur dit que c'est parce que mon corps ne peut pas se réchauffer tout seul quand rien autour de lui est chaud. Alors quand c'est l'hiver, je cherche constamment la chaleur humaine... C'est sans doute pour ça qu'on me traite de nymphomane bien souvent... J'avais Théodore pour me réchauffer avant, mais maintenant... Des fois, j'ai tellement froid que je me demande si j'arriverais à survivre la nuit.

    --» COMBIEN DE RELATIONS SÉRIEUSES?
    ... Des... Relations sérieuses? Vous voulez dire... Amoureuses? Eu... Je suis jamais encore tombé amoureux et j'espère ne jamais le faire. Je pense pas être capable de prendre soin de quelqu'un, déjà que j'ai du mal à prendre soin de moi-même... Mais j'imagine que pour vous, Théodore, il compte. C'était le docteur qui devait prendre soin de moi... Je sais pas pourquoi, mais je voulais toujours être à ses côtés et l'épater. Quand il est partit sans me dire pourquoi, je lui ais jamais pardonné. En amitié aussi ça va un peu mal... Disons que les gens ont du mal à saisir ma personnalitée. Mais j'ai eut des tas d'aventures d'un soir.

    --» MAUVAISE HABITUDE?
    Hmm... J'imagine que je suis un peu trop affectueux... Ça rend les autres mal à l'aise. Mais j'y peux rien, je suis constamment à la recherche de chaleur humaine, c'est comme un tic, une obligation...


Kam Lesther -- CHIMÈRE -- /!\ Homophobes s'abstenir.[FINIE] Kamhjki3


    --» PRÉNOM OU SURNOM ?
    Fannouille, Fan-Tan, Chewie, Choupette en susucre, Keilys, Lace et bien d'autres ^___^

    --» ÂGE / DATE DE NAISSANCE ?
    17 ans et des poussière =D / 12 Maiiiiiiiiii, ch'suis née le jour de la fête des mères

    --» COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ?
    C'est Râ et Whity, elles m'ont traînée par les oreilles et forcé à m'inscrire en me menaçant de plus jamais me parler si je le faisais pas -___-. Bon d'accord, c'est absolument faux XDDDD en fait, je voulais QUE TROP poster avec elles deux parce que ça faisait trop longtemps, alors j'ai sauté sur l'occaz quand elles m'ont dit qu'elles avaient fait un fofo ^___^.

    --» AUTRE CHOSE À DIRE ?
    Ce fofo est CARRÉMENT TROP CLAAAAAAAAAASSE *O* j'adore les membres, j'adore l'ambiance. Et même si je me suis humiliée en tant qu'admin, j'adore quand même XDD


--***--

[You take some time to go over what the young man has told you, while the young kid watches you closely. He sighs and shrugs his shoulders, waiting for you to continue.]


Dernière édition par Kam Lesther le Lun 28 Juil - 2:35, édité 12 fois
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MessageSujet: Re: Kam Lesther -- CHIMÈRE -- /!\ Homophobes s'abstenir.[FINIE]   Kam Lesther -- CHIMÈRE -- /!\ Homophobes s'abstenir.[FINIE] Icon_minitimeSam 14 Juin - 19:45
[Finished with your revision, you tilt up your head and see that the teenager is staring into space. You wait a moment and listen to another songs he plays on the CD player without a word...]

--***--


Découvrez Depeche Mode!

--***--

[Quick to note that all the songs seems sad and slow, but rocky, you make your own conclusions on paper and so miss the knowing and bitter glance the young patient sends you. After some time, you continue the interview...]



Kam Lesther -- CHIMÈRE -- /!\ Homophobes s'abstenir.[FINIE] Kamphypv0



    --» VOTRE PHYSIQUE?
    Hein???? Mais merde c'est quoi ça!!! J'en ais marre de marre de vos putain de questions à la con! Vous voulez vraiment que je me décrive? Vous avez des yeux non??? *soupir* Ouais bon ça va... J'imagine que vous voulez le plus de détails possible hein? Tss c'est presque pervers votre truc, savoir autant de choses sur moi... Si vous voulez qu'on se prenne une chambre, dites-le hein? Moi j'm'en fou. Bon... J'imagine que je devrais commencer par ma tête. Comme vous pouvez le voir j'ai les cheveux verts. C'est juste un peu trop évident non? Ils sont pas d'un vert ordinaire par contre, c'est comme un mélange entre vert menthe et vert émeraude. J'aime bien, ça rajoute à mon style. Les docteurs m'ont dit qu'avant la fusion avec ce fichu serpent qui me pourris la vie, j'avais les cheveux noirs. Ça fait bizard de m'imaginer avec les cheveux noirs... Et dans un certain sens, j'imagine que je devrais remercier ce labo bidon de m'avoir fusionné avec un serpent, parce que je pense que le noir ça m'irait pas du tout. Normalement, mes cheveux sont blancs... Mais c'est hideux alors je les teint en vert. C'est aussi assez classe le vert, ça passe pas vraiment inaperçut et... Bref, c'est classe. Mes cheveux sont placés dans une coupe champignon assez basse, au niveau de ma mâchoire. J'aime pas les cheveux longs et j'aime pas non plus les cheveux courts, fallait bien que je trouve un juste milieux sinon ça aurait fait un peu galère. Mes cheveux sont assez doux et fins, ce qui me fait vraiment chier parce qu'à cause de ça, ils font sans arrêt des noeuds. Les noeuds, c'est pas génial pour la patience. Surtout pour la mienne qui est déjà pas très grande. Chose étrange sur mes cheveux : ils sont très sensibles à la température. Comme le reste de mon corps en fait. Dès qu'il fait un peu froid, ils frissonnent et dès qu'il y a un peu de statique, ils deviennent dingues. Au soleil, ils deviennent assez aveuglant, surtout que des reflets verts s'y forment. Y'a des cons qui me demandent souvent si c'est de la teinture et je prend jamais la peine de leur répondre... Je pourrais toujours leur prouver qu'au moins je les bleach pas... Comment? Utilisez un peu votre imagination bordel! Ouais c'est ça, c'est ma juste mes cheveux qui sont blancs naturellement, mais TOUS mes poils. C''est sûr que j'en ait pas sur les bras et les jambes, ni vraiment sur le torse... Mais ça c'est à cause des écailles.

    Bon... Ensuite eu... Les yeux tien. Vous êtes sûr que vous voulez TOUT savoir de mon physique? Merde, toutes ces questions, c'est vraiment bizarre... On dirait presque que vous travaillez pour une agence de rencontre. M'enfin, donc je disais mes yeux... Comme pour mes cheveux, ils sont d'une couleur que bien des gens considéreraient anormale pour les yeux : verts. Là vous allez me dire que ça existe des humains aux yeux verts... C'est vrai, mais si vous regarder de plus près... Ouais voilà comme ça... Vous voyez? Ils sont d'une couleur pas trop normale. On dirait un mélange de gris et de vert menthe assez foncé. Ça donne une brume verdâtre. C'est une couleur que j'aime bien, parce qu'elle trouble les gens et fait tourner les regards. Mais ce que j'aime encore plus de mes yeux, c'est qu'ils sont hypnotisants. Est-ce que vous avez déjà fixé les yeux d'un serpent? Vous devriez essayer, vous allez vite vous rendre compte que ça fait un effet du délire... Théodore m'a dit un jour que les serpents avaient une sorte de pouvoir dans leurs yeux. En un seul regard, ils arrivent à paralyser leur proie et ainsi, ils arrivent mieux à la coincer pour pouvoir la bouffer. J'imagine que ce truc m'est attribué aussi, mais qu'il est moins puissant sur les humains, parce qu'il arrive des fois que quand ch'suis attiré par un mec, la peronne regarde dans mes yeux et s'immobilise comme ça. C'est assez pratique pour charmer... Hein quoi? Mais de quoi je me mêle??? J'allais pas du tout parler de 'choses pornographiques' franchement... Vous êtes prude vous hein? Bref, pour continuer mes yeux. L'iris a une forme assez particulière qui peut changer de temps à autres. Je vous explique : vous savez, le point noir que tout humain a au centre de son iris? Bah moi, il est plus ovale de haut en bas, comme celui d'un serpent. Y'a un truc par contre que des gens m'ont dit que personnellement j'ai jamais remarqué... Parrait que quand ch'suis en manque de sexe, mes pupilles se dilates et mes yeux deviennent encore plus verts, les rendant irrésistibles. Mais bon, je sais pas vraiment quoi en penser... Si ça me rapporte des baises, tant mieux, sinon, j'm'en fiche un peu. Mes yeux ont aussi une légère forme en amande, sans doute des traces de mes origines chinoises... Si c'est vraiment de ce pays que je viens. Avec tous les mensonges que ces cons nous disent chaque jour, c'est difficile d'être certain.

    C'est quoi la prochaine étape à cette fichue description? Mon visage? Merde, on peut pas juste finir ça ici? Vous en connaissez déjà plus sur moi que bien des gens et j'en ais marre de vos questions. Mais bon, ça va faites moi pas le discours de 'tous les autres sont passés par là' et basta... Donc mon visage... Bon eu.,. J'ai une peau au teint un peu plus blanchard que celui ordinaire, sans faire trop. Chose curieuse, on m'a dit qu'avant ma transformation j'avais la peau d'un teint jaunâtre, comme tout bon asiatique qui se respecte, mais maintenant elle a un léger teint rosé. Y'a beaucoup de mes... 'Conquêtes'... Qui me disent que c'est dommage que je rougisse pas facilement, sinon ça donnerait une jolie couleur sur mes joues... Personnellement, je m'en fou un peu. Et puis, j'aime pas ceux qui causent de romance et de compliments pendant la baise... M'enfin, j'Imagine que vous vous en fouttez vous? Bon je continue alors... J'ai une peau extrêmement fragile. C'est d'ailleurs mon point faible je crois, parce qu'elle est très sensible au touché et très facile à blesser. Les docteurs disent que ma peau est instable depuis qu'ils m'ont fusionné avec leur enfoiré de reptile à la noix, supposément que les écailles et la peau sa se marie pas bien... Les imbéciles. J'ai pas d'écailles dans le visage, alors passons pour le moment. Sinon, j'Imagine que vous voulez que je vous parles de mon nez aussi... Vous voulez que je me mouche et que je vous montre ce qu'il y a dans le mouchoir dites? Non? Pff, ça m'aurait pas étonné... Donc, j'ai toujours eu un nez assez fin et un peu retroussé, mais pas assez pour me donner des airs trop mignons. Encore heureux, faudrait pas que je perdre toute crédibilitée quand même!!! Sinon, j'ai pas de taches de rousseurs et ma peau bronze pas facilement. Elle brûle pas non plus, on dirait plus un genre de panneau solaire qui absorbe toute l'énergie qu'elle peu, c'est fichue peau. Il m'arrive de muer aussi quelques fois, rien de trop dégoûtant, juste arracher quelques morceaux de peau morte parfois. J'ai une bouche 'extrêmement sensuelle' apparemment. C'est ce que les gens me disent... Je penses que c'est parce que mes lèvres sont minces, sans trop et qu'elles ont une curieuse couleur rosée plus pâle que la normale. J'ai l'habitude de séduire avec ma bouche souvent, alors c'est peut-être pour ça aussi... Sur mes oreilles, y'a plusieurs trous de pierçings qui ont mal cicatrisés. J'ai tenté bien des fois de me percer les oreilles, mais ma peau trop sensible faisait des infections alors j'ai du tout retirer... Dommage, j'aimais bien.

    Bon, vous en avez assez là? Parce que franchement, ça commence à bien faire! Hein? Mon corps? Vous voulez rire?! Bon, si vous êtes un vieux pervers, ça vous regarde, mais je vois pas pourquoi je vous décrirais mon corps! D'accord d'accord, faites moi pas ce regard chiant, ça va... Donc eu... Mon corps... Commençons par dire que je suis pas petit, même que ch'suis un peu plus grand que la moyenne sans être un géant, ce qui est assez sympa. Je suis définitivement pas gros, même que des fois ça m'énerve de manger juste des trucs santé, j'aimerais prendre quelques grammes moi! Mais puisque je supporte pas le sucre, le gras ou les trucs trop riches depuis ma transformation, je peux pas vraiment y faire quelque chose... Les docteurs disent aussi que je pourrais peut-être avoir une sorte de maladie contre le sucre, alors je fais attention... Mais bon, n'empêche que je me trouve quand même horriblement maigre. Sinon, comme pour mon visage, ma peau est du genre sensible et assez pâle. La seule différence, c'est qu'ici, j'ai des écailles blanches qui font contraste avec ma peau. Curieusement, on dirait vraiment qu'elle font partie de moi et qu'elles sont pas juste collées ou horribles, une tache sur une peau parfaite. Y'a bien des gens qui me disent que ça fait sexy, quand on y pense bien. Bon moi, je me dis que c'est juste des putain d'écailles et je m'en fou un peu... Mais des fois sa m'énerve d'avoir ça. C'est surtout les dents un peu plus pointues qui me tombent le plus sur les nerfs. Sinon, mes écailles elles sont surtout dans mon dos, sur ma colonne vertébrale... Mais j'en ais quelques unes aussi sur les cuisses et les bras, aussi dans la nuque. Pourquoi blanche? Bah apparemment, le serpent qu'ils ont choisis pour la fusion était une sorte de serpent blanc aux yeux rouges. J'en ais vu une fois en photo dans une encyclopédie bidon... Des serpent tout petits et pas très impressionnants, si vous voulez mon avis. J'ai quand même des muscles souples, parce que je reste pas inactif... Bah quoi? Le sexe ça muscle, vous savez? Et pis, je fais des exercices de temps à autres, histoire de contrôler la température de mon corps... Il parraît que j'ai un derrière délectable aussi, vous voulez voir?

    --» VOS VÊTEMENTS?
    Hmm? Mes fringues? Ah... Alors ça, j'en aurrais long à dire. Je déteste premièrement les vêtements simples ou amples. Je finit toujours par m'enfarger dedans. Non, le moulant, c'est plus mon style. J'aime pas trop les camisoles ni les chemises. Par contre, les cols roulés moulants, ça j'adore. J'aime bien les tee-shirts aussi et les vestes à capuche. Mais faut comprendre hein? Je porte presque jamais des trucs unis. Les couleurs sombres aussi, c'est pas mon truc. Je me trimbale souvent avec du gris, du vert, du bleu, du blanc ou du orange. Ce sont mes couleurs fétiches si on peut dire... J'aime bien les chandails avec des messages dessus... Du genre 'SEX GOD' ou encore 'SNAKE? WHERE?'. Des truc qui choquent... J'aime bien qu'on parle de moi. J'adore les macarons aussi. Mes pieds marchent nul pars sans converses... D'autant plus que ce sont les seules chaussures assez minces pour soutenir mes pieds trop petits. Les pantalons? Hmm... J'aime bien les jeans moulants et sombres. Ouais je sais, j'avais dit pas de couleurs sombres... Mais pour les pantalons, c'est ce qui amincit le plus. Pas que j'en ait besoin, j'ai déjà assez l'air d'une asperge comme ça!

    --» UNE PARTICULARITÉ?
    Ah bah... J'imagine qu'être une chimère c'est être particulier... Non? Hmmpf... Bref, j'ai plusieurs trucs étranges sur moi qui prouvent bien que ch'suis pas un humain. Y'a mes yeux en premier, qui sont trop verts pour être réels. La pupille est aussi un peu plus ovale, comme celle d'un reptile. Y'a mes cheveux aussi, qui normalement sont blancs. Mais j'aime pas leur couleur alors je les teint en vert histoire de faire marcher avec mes yeux. J'aime pas les couleurs normales de cheveux, je les trouve trop communes. Ouais je sais, j'ai dit que j'en avais marre du vert... Mais mes cheveux, c'est pas pareil. J'ai aussi quelques écailles blanches sur le dos qui paraissent pas beaucoup... Sauf quand ch'suis nu bien sûr. Et pis j'ai des dents un peu plus pointues que normal, bien que ça parrait pas trop. Sinon, ch'suis totalement ordinaire. Sauf pour les fringues.
    [Après consultation des fichiers de Kam : Le jeune homme a héritier d'un sérieux hic dont souffre les animaux à sang froid, donc les reptiles... Son corps est incapable de se réchauffer par lui-même. Il a besoin de la chaleur externe pour se réchauffer, sinon il gèle et il meurt. Voilà pourquoi il a tant de mal à survivre en hiver et que c'est la période de l'anné où il se fait souvent le plus d'amants, c'est en recherchant la chaleur corporelle des autres.]


[Deciding to take a breack because your subject is obviously unerved by all your questions, you let him go eat something for dinner. While waiting for him, you scribble down some more notes, trying to forget his seductive glares... You suddenly understand the warnings of his doctors.]


Dernière édition par Kam Lesther le Mer 9 Juil - 16:06, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Kam Lesther -- CHIMÈRE -- /!\ Homophobes s'abstenir.[FINIE]   Kam Lesther -- CHIMÈRE -- /!\ Homophobes s'abstenir.[FINIE] Icon_minitimeMer 9 Juil - 8:51
The young man comes back from his break, looking as smug as ever... He's muttering to himself, something about white haired fools of the world. His cheek is scratched. Frowning, you're about to question him, but decide against it and ask the next question.


    --» VOTRE CARACTÈRE?
    Après mon physique, mon caractère... C'est trop typique... Vous voulez savoir quel genre de sous-vêtement je porte aussi? Ou si ch'suis capable d'aller au p'tit coin tout seul? Encore mieux tien, si je me branle à chaque soir pourquoi pas!!! Hummpf, pas besoin de faire cette mine de dédain... Bon alors, je commence par quoi? J'imagine que vous voulez savoir comment ch'suis avec les autres... Bon alors je suis pas méchant ni super cruel, comme dans les films bidons où y'a le big rebel méchant de l'école qui se croit le roi et tout. Disons que je suis aussi tolérant, je vais pas me mettre à taper si quelqu'un fait juste me regarder. Ch'suis plutôt sympathique et j'ai de l'humour. Mais malgrés tout, on dirait que les autres continuent de pas m'aimer et de m'éviter... Je comprends pas vraiment pourquoi. C'est peut-être parce que je suis trop directe. Mais quoi? Si un pote me demande si je trouve son tee-shirt beau et que je le trouve hideux, je vais pas dire avec un faux sourire 'Ooooooh oui, il est classe, je veux le même!'. Mon genre ce serait plus de fixer le chandail sans expression, de lever le regard vers sa tronche et de dire simplement 'Non. Il est horrible. À ta place je le mettrais dans la première déchiqueteuse que je pourrais trouver.'. Les gens apprécient pas trop mon sens directe... Je crois aussi que le fait que j'ai toujours l'air bête et ennuyé, comme si je me fouttais de tout autour de moi, y est pour quelque chose. Je suis pas du genre à sauter partout avec un immense sourire niais étempé sur le visage... Non, c'est pas du tout moi ça. Et puis je vois pas pourquoi je commencerais à lancer des blagues avec un grand sourire quand j'en ais pas envie. Les gens pensent que je souris jamais, mais ils ont tord... Souvent, les autres me tappent sur les nerfs, alors naturellement je ricanne pas. Mais il m'arrive très souvent de sourire. Pas un sourire tendre ou joyeux, un sourire amusé ou en coin. Je suis souvent solitaire, et j'aime ça comme ça. Je vais pas me mettre à chialer comme une madeleine parce que personne ose se tenir en ma compagnie quand même, ch'suis pas une meuffe. Par contre, les gens semblent s'intéresser à moi même s'ils ne se tiennent pas à mes côtés. Ils murmurent à mon passage, certains rougissent... J'ai un p'tain de réputation ici. Les gens me désignent du doigt et on m'appelle le rebel qui se fait tous les mecs de l'institut. Avec mes fringues, mon look et la lueur d'autoritée qui intimide les autres qui se dégage de moi, je comprends le rebel... Pour la suite du long surnom, je crois que ça mérite un autre paragraphe de caractère. Hein? Comment je sais que ça fait un paragraphe? Vous vous moquez de moi? J'arrive à voir tout ce que vous écrivez d'ici. D'ailleurs, je me demande si vous allez pas relire ça après en vous-- Ouais bon je sais, pas besoin de me faire un dessin...

    Bon alors... C'est le temps d'expliquer le surnom là hein? Faut dire que ça a un rapport direct avec le serpent qui se trouve en moi. Mais bon c'est pas juste ça aussi... Théodore me disait souvent que c'est parce que j'ai la maladie de la nympomanie, mais dans les stades les moins dangereux. Ouais, ça veut dire que j'aime le sexe et que j'en ais besoin pour survivre, pour le dire franchement. Y'en a qui me demandent si ça me fais honte... Je comprends pas trop pourquoi ils me demandent ça, j'veux dire, ça fait quoi d'accepter le fait qu'on aime le sexe? Y'en a qui disent que c'est malsain d'aimer ça à ce point et qui comprennent pas pourquoi je l'accepte si facilement. Moi ce que je me demande, c'est pourquoi les autres aiment pas ça. J'veux dire... Qu'est-ce qui a de mauvais dans le désir? Rien... C'est juste super excitant et ça fait du bien quand l'orgasme vient. Sinon de toute façon, c'est le seul moyen efficace que j'ai trouvé pour réchauffer mon corps rapidement. Bah quoi? Me faites pas ces yeux là, laissez-moi m'expliquer au moins! En fait, c'est que mon corps est sensible à la température... Quand il fait vraiment froid, il faut que je me trouve une source de chaleur parce que mon corps arrive pas à se réchauffer tout seul. Alors ouais, je me prommène dans les corridors à la recherche d'un corps, je vois un mec qui passe et qui a l'air inquiet pour moi... Pourquoi résister? Et puis, ils se plaignent jamais le lendemain! sauf si qui croyaient que c'était plus qu'un 'one night stand', mais eux je préfère les ignorer. C'est sûrement à cause de ça que j'ai une réputation de tombeur et de coureur de pantalons... M'enfin, au moins je force jamais les gens. Quand on me dit non, je comprends rapidement, je pousse pas la personne. Mais quand même, des fois je me demande pourquoi tant de gens semblent traumatisés par ce que je fais... J'aime le sexe. Et alors si j'ai pas un partenaire fixe? J'aime pas appartenir à une seule personne, ça me rend... Bizarre. Et puis depuis... Enfin depuis ce mec, j'ai du mal à m'attacher aux gens. Y'en a qui disent que j'ai peur. Bah, si ça leur fait plaisir de penser ça... Moi je penses franchement que j'en ais juste marre de l'amour... Et que j'ai pas encore trouvé la bonne personne.

    Bon sinon... Si jamais je tomberais amoureux encore... J'imagine que je serais doux, délicat. Ch'suis du genre super possessif des personnes que j'aime et je devient vite dangereux quand on les menace ou qu'on les fait chier. Je suis pas une personne agressive, mais des fois, j'ai pas peur de cogner si ça peur régler un problème. Je suis aussi très vulnérable aux personnes que j'aime, bien que je refuses qu'elles en soient au courant, j'aime pas avoir des faiblesses. Surtout des faiblesses que les autres peuvent exploiter. Alors là, c'est un truc que je peux juste pas supporter. C'est sans doute pour ça que j'ai du mal à m'attacher, j'ai peur de devenir incapable de me détacher, de devenir dépendant et de me faire du mal... Bon ça suffit de parler de mes faiblesses et tout hein???? Ahem, vous voulez savoir quoi d'autre? Hein, mes tendances violentes? Oh... Vous avez entendu parler de ça vous... Bon, c'est vrai, je suis pas une personne violente. Mais quand on me cherche... Disons que c'est facile de me trouver. Je veux dire, quand on m'agace ou qu'on essait de me faire fâcher, ça m'énerve. Je garde toujours mon calme extérieurement et j'ai le don de parraître imposant d'un seul regard. Les gens m'admirent des fois parce que je suis capable de garder mon sang froid même sous une colère extrême... Ils disent que ça me rend encore plus effrayant et j'imagine qu'ils ont un peu raison. Je suis le genre de personne qui a pas peur de frapper là où ça fait mal, de dire les vraie choses. Je tourne pas autour du pot la plupart du temps. C'est pour ça qu'on me choisit facilement pour dire à quelqu'un quelque chose que personne ose dire. Je vais dire franchement à quelqu'un ce que je penses de lui sans même froncer les sourcils ou ressentir une once de remord. Pourquoi dire la vérité est si mal vu? Les gens de notre temps mentent trop souvent. Ils ont oublié que la vérité est correcte et que le mensonge c'est la connerie... Ils se disent qu'un petit mensonge ne fait pas de mal à personne. Et bien moi je dis 'fuck' le mensonge. le seul vrai truc que j'ai du mal à comprendre et à exprimer, c'est le sentiment d'affection. C'est pour ça que si je finis par m'attacher à quelqu'un, la personne pourrait avoir du mal à savoir si vraiment je tiens à lui ou à elle. Je suis comme ça moi... Mystérieux, incompréhensible... Excitant. C'est comme ça que la plupart de mes amants me décrivent. J'aime bien.

    --» VOUS AIMEZ?
    Bah... J'aime bien le violon... C'est ma passion depuis que Théodore est partit... Ça m'aide à canaliser un peu mes émotions. Sinon, j'aime bien manger des pommes. C'est un truc qui a vachement surpris les docteurs, ils pensaient tous que j'allais devenir hyper carnivore à cause du serpent... Mais faut croire que le reptile était végétarien, parce que j'ai juste envie de bouffer des fruits et des légumes. Y'a qu'un truc que j'aime bien manger, et c'est le poisson. Alors ça... Les sushis, non, mais le poisson cuit, ça je raffole. J'aime beaucoup les ramens aussi. En fait, je crois que je me sentirais bien en Chine. J'adore le style des américains. Surtout les groupes de musique. En ce moment, j'ai une passe de queen et des beatles. J'aime bien Wagner aussi, bien que c'est totalement différent comme style. J'aime les fringues originales. Oh et... J'adore le sexe. Quoi? Vous avez un problème avec ça?

    --» VOUS DÉTESTEZ?
    Je hais les films. C'est que de la connerie ça... Des gens qui font semblant d'être d'autres gens rien que pour l'amusement du peuple... Ça me dégoûte, je trouve ça pervers. C'est comme les gens qui mentent, je supporte pas. Je déteste aussi les sucreries, je sais pas pourquoi. C'est sûrement le sucre, ça me donne mal au coeur. Je HAIS le froid. Je voudrais qu'il disparaisse... Parce que quand il fait froid, j'ai des vertiges, des faiblesses. J'aime pas être faible, ça m'énerve. J'aime pas non plus quand ch'suis tellement vulnérable que j'ai plus conscience de mes gestes. Je déteste aussi les petits rêveurs qui pensent aux princes charmants, ça me tombe sur les nerfs. Alors quand je couche avec un mec comme ça et qu'il arrête pas de me suivre partout après, ça me fiche en rogne. Je déteste ce fichu institut et je voudrais m'enfuir loin... Peut-être retrouver Théodore tien. Mais je sais que ça sert à rien, parce que je serais juste vu comme un monstre dans le vrai monde. Comment ça pourquoi? Regardez-moi bordel! Sinon, je me déteste aussi moi-même à cause du serpent qui est en moi.

    --» VOTRE COMPORTEMENT ENVERS LES AUTRES?
    ... C'est quoi cette fichue question? Bah... Disons que ch'suis difficile à comprendre pour les autres. Ch'suis plus du genre solitaire... Mais je mord pas non plus quand les autres me parle, dépendament de ce qu'ils me veulent. Si c'est pour me pleurer dessus avec des sentiments ringuards, alors là je me fiche en rogne. Le problème avec moi, c'est que j'ai du mal à me contrôler. Une minute ch'suis gentil, l'autre je gueule et je casse tout. Les autres aiment pas trop ça je crois. J'aime bien les gens pour le sexe par contre. Pour ce qui est de l'amour... Bah, j'aime pas trop l'idée de m'enticher d'une seule personne... Ça me fait sentir vulnérable et pas libre.


[Sighing with relief, you tell the young man that the interview is over. Without waiting for you to change your mind, he stands up and goes away without any hesitation.]
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Kam Lesther
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L'Hivernal Nymphomane
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Les Secrets
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MessageSujet: Re: Kam Lesther -- CHIMÈRE -- /!\ Homophobes s'abstenir.[FINIE]   Kam Lesther -- CHIMÈRE -- /!\ Homophobes s'abstenir.[FINIE] Icon_minitimeVen 11 Juil - 2:43
[Massaging your temples, you try to will the stress away, but you're so wary it doesn't work. That guy has you puzzled... You stand up to finish this in your office and notice that he forgot his CD. Taking the CD player with you, you walk to your office and sit down to listen to one more song...]

--***--


Découvrez Depeche Mode!

--***--

[After the song, you're already reading the history files of your subject, in deep concentration. The files were given to you by the personnel of the establishment.]



Kam Lesther -- CHIMÈRE -- /!\ Homophobes s'abstenir.[FINIE] Kamhisio4



    LÉGENDE

    -- Kam LESTHER
    -- Théodore HARRISON
    -- Chloé Laureen

    * -- AUTRES

    NOTICE -->> Cette histoire contient des scènes sexuelles fortement explicites et parfois homosexuelles. Gare aux âmes sensibles. Si vous n'aimez pas lire ce genre de choses ou si les homosexuels vous rendent mal à l'aise, veuillez s'il-vous-plaît ne pas lire cette histoire et passer votre chemin. Les autres, enjoy =D.

    -- -- -- -- -- -- -- -- -- --

    Le silence de la salle était assourdissant. On aurait pu faire tomber un trombonne sur le sol et le son porterait si clair que ça en serait embarassant. Cétait si puissant, si étouffant comme silence que ça en devenait presqu'irréel... Dans cette salle, cette chambre en particulier, un tel silence était étrange, trop étrange. Les murs entièrement blancs et sentant le plâtre d'hôpital semblaient fantômatiques, trop blancs. On aurait dit qu'en passant un doigt sur le mur, une trace de craie nous resterait sur la main. Les dalles du plancher, de la céramique bien simple blanche et noir, luisait sous la lumière des néons... Les néons. Eux aussi ils étaient trop puissants. En les regardant assez longtemps, on arrivait à voir des points jaunes un peu partout, comme si l'on venait de fixer le soleil trop longtemps... Naturellement, ils n'étaient pas nocifs pour la vue, ils avaient été testés... Mais c'était quand même aveuglant. La porte était fermée. Une porte grise pâle. On aurait dit la porte d'une chambre d'asile, pas de fenêtre, juste une poignée. Une poignée avec une serrure... Qui ne s'ouvrait que de l'extérieur. Un bureau plus long que large se trouvait contre le mur du fond, avec une chaise à roulette. Les tiroirs étaient fermés, les papiers étaient bien classés sur le dessus, les crayons étaient tous droits... Tout était trop parfait. Et puis, il y avait ce parfum dans l'air... Un parfum désagréable de produits chimiques qui donnait mal au coeur. À côté de la porte se tenait un paravant qui cachait le reste de la pièce, il était blanc comme le reste de la salle. En avançant un peu, on pouvait voir un lit de l'autre côté... Avec une comode. Le lit était impeccable, on aurait presque dit que personne n'avait jamais dormit dedans. Les tiroirs aussi étaient bien rangées. Et un peu plus loin, se trouvait une porte. Une porte qui communiquait à la salle de bain. Avec la toilette, le bain, le robinet... Tout en blanc bien sûr. Mais cette porte, faisait tache au reste de la salle. Oui... Elle n'était pas à sa place. Elle criait le 'JE NE DEVRAIS PAS ÊTRE ICI'. Parce qu'elle était entrouverte. Ça gâchait le sentiment que personne ne vivait ici. Et en se rapprochant un peu de la porte, on pouvait voir que la lumière était fermée. Qui aurait laissé une porte entrouverte ainsi sans ouvrir la lumière? Ça donnait presque envie de parcourir la pièce et de la fermer, tout pout conserver l'air impeccable de la salle. Le silence. La paix. Le malaise.

    Et soudain, le silence fut brisé. On aurait presque dit que le bruit n'avait jamais existé, n'avait jamais percé l'épais manteau de calme qui tenait la chambre sous son emprise... C'était presque comme si les lieux, panniqués à l'idée d'être troublé dans leur silence, avaient étouffé le bruit. Mais en tendant l'oreille et en attendant un peu, il était facile de les entendre... Ces bruits qui troublaient la quiétude modernes de la salle. Ces bruits. Ces... Gémissements. Car c'était bien des gémissements. Des gémissements faibles, tremblants et étouffés par l'épaisseur des murs insonorisés... Mais des gémissements quand même. La voix qui pronnonçait les sons était curieusement érotique et les bruits auraient servis à rendre n'importe qui très excité assez rapidement. Elle n'était pas assez grave pour être masculine, mais pourtant pas assez délicate pour être féminine... La voix n'avait pas de sexe. Elle semblait fragile, faible... Comme si de pronnoncer ce genre de son allait finir par la briser, comme si elle tentait dans un ultime effort futile de se cacher, de fuir la réalitée. La curiositée pousserait n'importe qui à s'avancer et à écouter d'avantage. Et elle ferait comprendre facilement que le ou la propriétaire de la voix se trouvait derrière cette porte, dans la salle de bain... Avec la lumière fermée. C'est là que la personne ferait une grave erreur... Car elle réaliserait que la lumière n'était pas fermée, car une faible lueur trahissait sa présence si on regardait par la fente de la porte entrouverte. On hésiterait à entrer, intimidé par cette voix si sensuelle qui continuait de gémir doucement, tentant de garder un ton faible... Mais la tentation finissait toujours par être trop forte. Et alors qu'on ouvrait doucement la porte, grimaçant sous le grincement de la porte grise comme la porte d'entrée, un curieux spectacle s'offrait à nous. Le bain, qui se trouvait dans l'ombre, vers la gauche de la pièce, était occupé. Une silhouette y était posée, anonyme dans les ombres. La source de la lumière était en fait une lampe de poche qui avait été posée sur son manche à côté du bain, comme si la silhouette avait voulut avoir un peu de lumière pour ne pas être complètement dans l'obscurité, mais n'avait pas osé ouvrir les néons, leur lumière assoudissante menaçante. Il serait d'abord difficile de distinguer les traits de la silhouette, même en plissant les yeux... Il faudra laisser du temps aux iris à s'habituder à la pénombre de la salle de bain, qui constrastait fortement avec les murs blancs et aveuglant de la salle d'à côté.

    Avec de la patience et un peu de temps, il devenait plus facile de voir la silhouette. Et c'est là qu'on l'on comprenait que la voix si sensuelle qui taquinait amoureusement nos parties intimes, appartenaient à un garçon. Non, pas à un homme... À un garçon prépubaire. En jugeant par les formes non définies de son corps, par sa taille et par le fait que sa voix ne semblait pas avoir muée, il était facile de dire que l'enfant devait avoir environ 12 ou 13 ans. Mais il était évident qu'il s'agissait d'une garçon. Comment cela était-il évident? Son sexe était dressé, touchant presque le bas de son ventre plat, tremblant de temps à autre de plaisir. En observant avidement le membre gorgé par le sang, on pouvait facilement appercevoir quelques gouttes de liquide qui menaçaient de s'écraser contre la surface de la peau du jeune garçon. Il était impressionnant de voir un garçon de cet âge avoir une érection aussi forte... Le regard curieux serait naturellement porté à suivre les courbes du corps du jeunot. Il commencerait par détailles les cuisse bien fermes, chacune écartée l'une de l'autre et pliées par les genoux qui pointaient vers le plafond. Ensuite viendrait les jambes, minces et fines, possédant un tibia bien définis et se terminant sur de petits pieds aux orteils dressés sous le plaisir et la tension sexuelle. Le parfum insipide et donnant la nausée de l'autre salle était remplacé dans la salle de bain par l'odeur entichante de sexe. Le jeune garçon dégageait un parfum entichant et sensuel... On avait presque envie de le rejoindre dans la baignoire, de poser nos mains sur son corps frêle, d'entendre ces gémissements parce que nos propres mains le touchaient... Mais le spectacle était tellement magnifique que les mains d'un étranger curieux semblaient incongrues, impensables dans le tableau. En remontant sur le corps du jeune garçon, prenant une pause sur le membre dressé qui avait enfin laissé tombé une goutte de liquide sur le ventre plat et dénué de poil, on pouvait suivre un ventre plat et des hanches d'enfant, non définies. Un torse délicat armé de deux mamelons rosés et quelques peu foncés pouvait ensuite suivre... Des mamelons qui étaient dressés. Un bras était posé vers le haut, au dessus de la tête. L'autre était alongé pour laisser le soin à la main délicate de caresser langoureusement un des deux mamelons. Et là, on arrivait à comprendre la source des gémissements.

    Comme pour prouver la théorie, l'enfant poussa un soupir de plaisir, tournant la tête sur le côté, vers la lumière. On devenait alors figé devant la beautée de ce visage parfait, dans une grimace de plaisir et d'extase, les lèvres rosées et minces entrouvertes, laissant un petit fil de salive communiquer entre la lèvre inférieure et la surface froide du bain. Les yeux étaient fermés, comme voulant savourer seulement la sensation du touché, de l'odorat et de l'ouïe. Les cheveux de l'enfant étaient blancs. Ils ressemblaient à la couleur d'une étoile brillant dans le firmament... Les cheveux étaient courts, mais devenaient long derrière la nuque. Ils étaient cachés par le dos arqué de l'enfant. Le petit corps baigné de sueur se souleva un moment, puis la main cessa ses caresses. Pendant un moment, tout sembla suspendu, comme si le temps s'était arrêté. Le silence était coupé par le souffre inégale et sensuel du jeune garçon. Soudain, il ouvrit les yeux. On pu y découvrir en y regardant de plus près, deux émeraudes aux pupilles dilatées et étrangement ovales, comme celles d'un serpent. L'enfant fit glisser sa main sur son torse et refermit les yeux en retenant son souffle d'anticipation quand ses doigts se rapprochèrent dangereusement de son sexe gonflé et rouge. Le regard curieux se poserait de nouveau sur la virilitée encore petite, mais si facilement excitée... Puis, un index tremblant viendrait caresser la fente avec le liquide qui en coulait. Un gémissement plus puissant retentit dans la salle tandis que l'odeur de sexe devenait plus puissante. Puis, les doigts caressent avec plus d'assurance le sexe dressé. Après un moment, le visage du jeune garçon se tourne de l'autre côté tandis que des paroles incompréhensibles sortirent de sa bouche, trop basses pour être comprisent. La main empoigna farouchement le membre qui tresaillit et se mit à faire des vas et viens insistants, mais lents, tandisque les gémissements devenaient plus puissant. Quiconque serait dans cette pièce à cet instant pourrait facilement remarquer que ses propres sous-vêtements étaient en train de se mouiller... L'autre main se redressa, comme agitée par un pouvoir quelconque et vint caresser un mamelon. Le dos du jeunot se dressa et des mots sortirent d'entre ses lèvres, des mots couinés.

    "Ah! Doc... Docteur Harrison!"

    Il était clair que le jeune garçon était prit dans une fantaisie sexuelle sur quelqu'un qu'il connaissait... La main qui s'agitait sur son sexe s'accéléra et les couinnements redoublèrent tandis que le dos de l'enfant s'arquait de plus en plus, les bruits du liquide gluant frottant la peau envahissant la salle. Pendant plusieures minutes, rien ne se passa de différent. Le jeune garçon prononça le nom de son fameux docteur plusieures fois, le remplaçant plusieures fois par 'Théodore'. Puis, dans un ultime va et vien puissant, son corps formit un arc impossiblement parfait et ses cordes vocales crièrent de plaisir tandis que du liquide opaque jaïssait de son sexe pour s'écraser au fond bu bain. Le souffle saccadé et fatigué de l'enfant perça encore le silence tandis qu'il tentait de reprendre ses esprits. Puis, en ouvrant les yeux une ultime fois, il remonta sa main couverte de liquide gluant et l'observa sans rien dire. Puis, les yeux illuminés d'une émotion incompréhensible, il passa sa langue sur sa main pour rammasser le liquide, fermant de nouveau les yeux.

    "Théodore..."

    Sur ces paroles, on pu entendre au loin le son de la porte d'entrée de la chambre qui se fermait sur un homme pressé. Un homme qui avait laissé la porte de la salle de bain un peu plus entrouverte. Un homme qui était allé porté un plateau repas sur la table de chevet et qui, après avoir entendu les gémissements, avait été curieux et avait fait l'erreur d'ouvrir la porte sur le spectacle. Il avait tout vu. Le petit corps frêles. Le visage crispé sous le plaisir. Ça l'avait excité. Le corps d'un enfant l'avait excité. Puis en voyant qu'il semblait reprendre ses esprits, l'homme était partit sous la pannique, ses pantalons comprimant son membre honteusement gonflé par le spectacle. L'enfant ne sut jamais qu'il avait eut un spectateur. Car il était dans le bain, en train de dormir, exténué par ce qu'il venait de faire.

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Kam Lesther
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MessageSujet: Re: Kam Lesther -- CHIMÈRE -- /!\ Homophobes s'abstenir.[FINIE]   Kam Lesther -- CHIMÈRE -- /!\ Homophobes s'abstenir.[FINIE] Icon_minitimeSam 12 Juil - 1:44
    Ce ne fut pas l'amour fou. On s'attendrait au contraire... Mais non. On peut presque dire que les deux partis se détestaient. Ils ne s'étaient vu que quelques fois, de loin, et chacun semblait trouver facilement des défauts à l'autre... Plus que des qualitées. Mais ils étaient tous deux riches et contrôlés par des parents concernés par le sang bleu noble et les vieilles traditions chinoises. Car la famille Sawa et la famille Yukihyo étaient toutes deux de nobles familles chinoises... Leur lignée remontaient aux temps ancien, où l'honneur était plus fort que tout. Et toutes deux appartenaient auparavant aux lignées les plus riches et les plus nobles du pays. Pour concerver cette richesse, on se mariait entre cousin, tel on imaginerait dans les vieilles histoires de culture qui nous amusent et nous font rire. Même si la famille Yukihyo accepta parmis ses rangs des Américains, eux aussi assez riches, elle souhaitait rammener du sang chinois dans ses veines pour 'purifier' ses prochains héritiers, comme ils aimaient si bien le dire. Le mariage d'une de leur ancêtre à un riche Américain avait été fait de façon à sauver la famille qui tombait tranquillement dans la ruine, pas question de refaire cette erreur, car maintenant les Lesther avaient plus d'aurorité sur eux qu'ils ne devraient en avoir. Quand ils obtinrent un fils héritier, ils furent heureux, même s'il avait plus de traits Américains que chinois. Ils le nommèrent Rizu et dès sa naissance, lui recherchèrent un bon partit à épouser. Rizu fut instruit dans les arts chinois dès son tout jeune âge, mais sembla montrer plus d'intérêt à l'Amérique qu'à son propre pays... Ce fait frustra ses parents chinois et emmena la honte sur la famille, ce qui les poussa à lui choisir une fille d'une famille riche s'occupant plus des traditions que de l'influence de la technologie actuelle. La famille Sawa, qui suivait tous ces critères impeccablement, semblait être le choix idéal... Et dès qu'ils eurent la chance de voir naître une petite fille dans leurs rangs, l'entente fut signée et Rizu se retrouva fiancé et promis à Sakura Sawa. Si cette idée lui déplut, il n'en montra rien, continuant de faire semblant d'aimer la Chine quand il ne rêvait que d'aller en Amérique. Tout semblait aller pour le mieux dans les premières années, quand Rizu fut trop jeune pour montrer de la résistance à ses ainés... Mais en grandissant, il devint de plus en plus difficile de lui dicter sa conduite et de le contrôler. La famille Yukihyo cachait tant bien que mal ce fait sous des façades tissées habillement, mais se rongeait secrètement les ongles dans l'ombre à l'idée que la famille Sawa refuse d'allier leur fille à un hériter si rebel.

    Du côté de la famille Sawa, tout allait pour le mieux. Sakura s'avéra être une fille douce et affectueuse, les qualitées les plus prisées d'une bonne épouse. Elle démontra dès sont tout jeune âge une curiosité sans bornes pour le savoir et les études. Mais comme toute femme de la famille Sawa, elle était destinée à ne pas se faire instruire. Elle passerait sa vie entière à se préparer à un mariage avec un homme qu'elle n'avait jamais vu. Malgré tout, elle restait optimiste et voyait son futur sous une lumière d'espoir, s'imaginant entourée d'enfants et de l'amour d'un mari parfait. Elle grandit et devint une fleur resplendissante convoitée par plusieurs hommes. Sakura devint aussi calme, réservée et zen, emmenant sur elle la fiertée de sa famille. Puis vint le grand jour. Rizu avait 22 ans quand il épousa sa femme de 17 ans. Il fut calme et posé durant la cérémonie, l'image même d'un homme vaillant et fort. Il ne passa pas de commentaire en voyant sa femme, ne la regardant même pas. malgré tout, la famille Yukihyo fut plus qu'heureuse de voir que leur jeune héritier téméraire n'emmenait pas la honte sur eux en ce jour critique. Tout se passa pour le mieux et à la fin, les familles réunirent leurs enfants mariés ensemble dans une maison qui serait la leur pour le restant de leur vie. Maintenant que cette étape cruciale était passé, ils pensaient tous que la situation allait s'arranger toute seule. Ils étaient si certains qu'avec le temps, Rizu tomberait amoureux de Sakura, que quand cela n'arriva pas, ils furent tous plus que surpris. Et après 3 ans de vie commune et la naissance de deux enfants, Rizu annonça à sa famille et à sa femme qu'ils partaient vivre en Amérique. Malgré les protestations vicérales de ses aînés, le père de famille quitta la Chine pour ce pays où il se sentait plus à l'aise avec une femme silencieuse. Celle-ci n'osait pas contredire son mari qu'elle trouvait froid et un peu trop réservé. Une fois dans ce nouveaux continent si étrange, Rizu dévoila enfin sa vraie nature. Et c'est ainsi que les problème commencèrent. Car le jeune homme avait travaillé depuis maintenant plusieurs années en tant que scientifique pour un projet top secret. Bientôt, il commença à ne plus jamais être à la maison, laissant la pauvre Sakura qui ne se sentait pas du tout chez elle dans ce pays étrange seule. Il lui laissa un garde du corps pendant ses absences, aillant apparemment peur que quelqu'un vienne tenter de lui voler des fichiers... Enfin, c'est ce qu'il avait dit à sa femme. Mais il avait fait ça plutôt parce que sans vouloir se l'admettre, il était tombé sous le charme de sa femme et tremblait de rage à l'idée qu'un homme profite de son absence pour venir lui faire l'amour.

    Ce qu'il n'avait pas prévu, c'est que son garde du corps reste plus longtemps avec sa femme que sa propre personne, laissant ainsi l'occasion à Sakura de tomber amoureuse de lui. Bientôt, la jeune femme fut de nouveau enceinte. Et bien qu'elle essaya de déguiser sa joie en honneur, faisant croire à son mari qu'il était le sien, Rizu eut des doutes. Puis, sans prendre le temps de demander l'avis à sa femme, il renvoya le garde du corps et engagea une femme à la place. Sakura compris le message. Et quand Kamille, son fils adoré qui était né d'une union amoureuse, vit le jour, Rizu refusa de l'aimer et de le regarder. Sans le vouloir, Sakura s'attacha plus à cet enfant qu'aux autres, car c'était la dernière chose qui lui restait de son amant qui lui manquait cruellement. Durant les départs de son mari, la jeune femme finit par trouver des moyens d'éviter à la vigilence de son garde du corps et de visiter quelques amants secrets, recherchant dans leur étreinte, l'amour qu'elle avait perdu. Rizu finissait toujours par découvrir ses aventures et écarter les amants, les forcer à déménager loin, rendant la pauvre Sakura folle de solitude et de culpabilitée d'être la cause de temps de gens déplacés par la force. Bientôt, Rizu devint violent. Il se mit à frapper Sakura et à lui faire l'amour avec violence, rendant la pauvre femme encore plus faible et renfermée. Avec les années, la pauvre devint si docile et effacée qu'on aurait presque dit qu'elle était l'une des domestiques. Elle ne prenait plus soin de ses enfants, trop faible pour les voir sans voir dans leurs yeux leur père. Le seul qu'elle tenait à tenir dans ses bras, c'était Kamille. Bien qu'il le cacha, Rizu remarqua son manège. Il tenta de l'ignorer, se disant qu'il se fichait éperduement de son comportement, mais l'énervement finit par gagner sur lui. Un jour, quand Kamille n'avait que 5 ans, il l'arracha des bras de sa mère et l'emmena avec lui en Afrique, où il voyageait pour effectuer son métier de scientifique. Sakura eut beau le supplier à genoux, pleurer à chaudes larmes, rien n'y fit. Elle tenta de mettre fin à ses jours ce soir là... Sans succès.

    -- -- -- -- -- -- -- -- -- --

    "Docteur Harrison? C'est vous?"

    Une femme très grande à la carrure féminine et sinueuse se démarquait de la noirceur de la pièce dans la lumière qui se posait dans l'embrasure de la porte. Sa main blanche aux doigts parfaitement manicurés étaient délicatement posée sur le cadre de porte, montrant fièrement le vernis à ongle argenté qui les recouvrait. Une bague de mariage avec un diamant si gros qu'il était difficile à manquer thrônait sur son index de la main gauche. Ses longs cheveux blonds platines étaient, comme toujours, impeccablement droit et coiffés, attachés en une queue de cheval haute sur le dessus de sa tête. La queue de cheval tombait dans son dos en frôlant le milieu de celui-ci de sa fin. Des mèches lui tombaient dans les yeux, cachant ses magnifiques yeux bleus-gris, des yeux froids, mais amusés qui démontraient une forte intelligence. Sa beautée était aveuglante et si une lueur angélique avait pu émaner de son corps, personne n'en serait étonné. Son corps démontrait des courbes de femme et une poitrine très présente, la rendant plus imposante que délicate. Elle portait aussi des talons hauts impressionnants et une jupe lui arrivant aux genoux d'un blanc immaculé. Sa veste blanche armée de son étiquette affichant son nom en grandes lettres majuscules recouvrait son chandail à col 'V' de couleur gris pâle. Bref, elle était très belle et c'était le moins que l'on puisse en dire... Son regard marqué d'une lueur d'amusement était figé sur le dos maintenant tendu d'un de ses collègues qui se trouvait dans la pièce. Elle pencha la tête sur le côté et posa une main sur sa hanche, prenant un air strict. La pièce était plongée dans l'obscuritée, sauf pour une petite lumière qui éclairait la surface d'une table, par dessus laquelle le collègue de la jeune femme était perché. Autour de lui, des machines clignotaient et faisaient imprimer des résultats d'analyse. On aurait dit le laboratoire du docteur Frankeinstein en plus technologique, surtout avec les files et les tubes de verts compliqués mélangeant des fluïdes fluorescents dans un coin de la pièce. Le jeune homme se retourna doucement après les dires de la femme, découvrant sa carrure qui trompait son identitée. Le docteur Chloé Laureen poussa un soupir de découragement en reconnaissant l'homme et ajouta sur un ton de reproche :

    "Docteur Harrison, il me semble vous avoir dit d'aller vous reposer il y a 3 heures de cela. Que faites-vous encore là?"

    L'homme poussa un soupir et tourna la tête vers sa montre avec un air embarrassé. Chloé en profita pour allumer la lumière et éclaircir ainsi la salle sinistre. Maintenant éclairée, elle arrivait parfaitement à détailler son collègue. Celui-ci avait les traits tirés et des cernes sous les yeux, cachées un peu par ses lunettes rectangulaires aux montures argentées. Il retira ses dites lunettes pour se masser les arrêtes du nez, camouflant ainsi ses yeux d'un bleu si foncé qu'on les dirait presque violet à la vue du docteur Laureen. Elle nota pour la première fois qu'il était assez beau et jeune et que son apparence dégageait une virilitée certaine. Elle secoua rapidement ses pensées, se rappelant soudain qu'un mari l'attendrait dans son lit lorsqu'elle irait le rejoindre ce soir. Elle détailla quand même les épais cheveux noirs ondulés de son collègue et la faible trace de la naissance d'une barbe sur son menton. L'homme n'avait que 25 ans, mais il semblait en ce jour plus vieux à cause de la fatigue et du stress. Le jeune homme n'était pas marié et n'avait aucune amante. Si le docteur Laureen le savait, c'est qu'en fait c'était l'un des sujets les plus adorés à l'institut... Les gens se demandaient pourquoi un homme si beau et si diablement attirant n'avait pas de relation depuis son arrivée à l'institut, ce qui semblait impossible. Quelques gens disaient que c'était parce qu'il était en fait homosexuel... Mais même si c'était le cas, Chloé savait que plusieurs infirmiers assez attirants avaient tenté leur chance sans rien en tirer de bon. Non, la raison de ce manque de sexe flagrant dans la vie de l'homme était simple... Il était trop impliqué dans le projet SERPENT 2, alias Kam. Quand il était arrivé à l'institut, ce projet n'était pas encore en marche... On le montait, tranquillement, en notant que la première tentation de fusionner un serpent et un humain avait eut des résultats prometteurs. Théodore Harrison, simple scientifique test le jour de l'arrivée du jeune garçon, avait été le second de Chloé qui était le chef de l'expérience.

    "Docteur Laureen... Je suis désolé, je n'ai pas vu le temps passer."

    Chloé fronça les sourcils et serra imperceptivement les doigts sur le cadre de porte. Son regard se posa sur le dossier ouvert derrière son collègue. Elle connaissait ce dossier... C'était celui de Kam, celui de SA chimère, de SON projet. Le docteur Laureen était très possessif de Kam. Pour elle, il était sa vie et elle l'adorait... Mais Théodore était une ombre sur le tableau. Kam semblait n'avoir de yeux que pour lui et Théodore passait tout son temps sur le projet, fasciné. Bien qu'elle refusait de se l'admettre, Chloé était jalouse. Elle s'avança vers Théodore, faisant claquer ses talons sur le sol froid. Théodore la suivit des yeux sans réagir et quand elle fut en face de la table, les doigts frôlant le dossier ouvert, il se contenta de la fixer. Un sourire se dessina sur les lèvres de la scientifique.

    "Le dossier de SERPENT 2? Je suis heureuse de voir que vous êtes autant attaché à ce projet..."

    Si Théodore sentit le venin dans son ton, il n'en fit pas un cas, car il se contenta de sourire. Il n'eut par contre pas le temps de répondre, car des pas précipités se firent entendre dans le corridor. Un infirmier s'arrêta devant la porte, à bout de souffle et les joues rosies par quelque chose dinconnu aux deux scientifiques. Il se cramponna sur le cadre de porte, aillant apparemment besoin de soutien. Pendant un moment, rien ne se passa, comme si personne n'ausait briser le silence provisoire. Chloé, la main toujours sur le dossier, fixait l'infirmier sans sourciller. Théodore avait remit ses lunettes sur son nez et faisait de même, un étrange regard parcourant son visage. L'infirmier, lui, fixait le sol, cherchant ses mots. Il finit par relever les yeux vers Chloé et dire sur un ton essouflé :

    "Doc... Docteur Laureen,,, J'ai... J'ai vu quelque chose de... De fascinant et... Et d'allarmant! Cela concerne le... Le projet SERPENT 2... Je--"

    Il s'interrompit brusquement en appercevant Théodore, dont le visage impassif avait changé. Il semblait soudain très intéressé par la conversation, les lèvres entrouvertes et un air pensif s'encrant sur ses traits. L'infirmier hésita à continuer, fixant le docteur Harrison sans réagir. Chloé, comprenant son hésitation, prit un faux sourire doux et dit en mettant une main sur le bras de son collègue, prenant un ton joueur pour se venger de Théodore :

    "Ne vous inquiétez pas, le docteur Harrison est mon plus fidèle collègue et travaille aussi sur ce projet. Vous pouvez parler devant lui."
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MessageSujet: Re: Kam Lesther -- CHIMÈRE -- /!\ Homophobes s'abstenir.[FINIE]   Kam Lesther -- CHIMÈRE -- /!\ Homophobes s'abstenir.[FINIE] Icon_minitimeLun 14 Juil - 16:22
    Elle était apparemment très heureuse que Théodore ait ainsi la preuve que c'était vraiment elle qui décidait tout sur ce projet, tout. Le docteur Harrison ne sembla pas s'en formalisé, trop occupé à fixer l'infirmier en attendant impatiemment qu'il continue. Le jeune homme, troublé de se faire ainsi fixer par deux grands scientifiques, rougit encore un peu et fermit les yeux pour reprendre son souffle. Quand il daigna continuer d'une voix tremblante, il fixait le sol, n'ausant pas regarder en face la femme qui était son patron.

    "Je... Je passais pour lui donner ses médicaments et... Il n'était nulle pars... Alors je l'ai cherché et j'ai remarqué que la porte de la salle de bain était entrouverte... Je l'ai poussé et... Il était là... Dans..."

    Il s'interrompit de nouveau et se rattelat la gorge, jouant avec le collet de sa chemise qui semblait trop serré, les joues entièrement rouge. Théodore fronça les sourcils, remarquant aussitôt que l'homme semblait excité, comme s'il venait de voir quelque chose de très sensuel. Il serra le poing, se demandant si ça avait quelque chose à voir avec Kam...

    "Il... Il était dans la baignore et il... Il se... Masturbait..."

    Le silence de la salle qui suivit cette révélation fut tellement épais que l'on aurait pu le tailler au couteau. Chloé fixait l'infirmier d'un regard neutre, cachant son choc immense dans son coeur. Théodore, lui, fixait aussi l'infirmier, mais affichait un regard incrédule. L'infirmier osa les observer tour à tour, puis retourna précipitament son regard vers le sol, notant leurs traits. Chloé se mit à afficher un air totalement émerveillé, son coeur battant la chamade. Kam... Était interressé au sexe??? Déjà??? Son esprit se mit à former pleins de possibilitées et elle les chassa rapidement, ignorant le fait qu'elle était soudain trop excitée pour son propre bien. Son regard scrutta intensément le jeune homme qui venait de lui faire cette révélation, mesurant la vérité de ses dires. Elle remarqua enfin son état d'excitation sexuelle extrême et se dit qu'elle aurait bien aimé être là pour observer le spectacle... Chassant cette pensée, elle dit soudain, un air calculateur sur le visage :

    "Mais cela... Est impossible... Les projets témoignent de l'Intérêt au sexe seulement à l'âge de 15 ans d'habitude, et ça ce sont le splus précoces! C'est une découverte des plus troublantes..."

    Préoccupée, elle ignora les deux homme et se marmonna des trucs à elle même tout en se dirrigeant vers la sortie. Elle fit une pause à la porte pour lancer à Théodore :

    "Docteur Harrison, n'oubliez pas d'aller vous coucher, nous aurrons du boulot demain et je refuses de travailler avec un homme croulant de fatigue."

    Sur ce, elle quitta la salle, laissant les deux hommes seuls. Ceux-ci n'osaient pas se regarder. Théodore semblait perdu dans ses pensées. L'Infirmier, lui, finit par lever le regard, hésitant à continuer. Ses joues avaient prient une teinte encore plus rosée, sans doute à cause des images qui trottaient dans sa tête. Il finit par dire d'un ton incertain :

    "Docteur Harrison... Ce n'est pas tout... Je n'osais pas le dire au docteur Laureen, mais vous... Devez savoir que..."

    Il déglutit et Théodore le fixa, longuement.

    "Je vous écoute."

    L'infirmier jeta un regard derrière lui, comme s'il avait peur d'être entendu. Il finit par fermer la porte dans son dos et se rapprocher du scientifique, cherchant apparemment le meilleur moyen d'aborder le sujet. Théodore attendit avec une certaine impatience qu'il se mette à table. Mais quand l'infirmier lui répondit, rien n'aurait pu le préparer à sa réponse.

    "Quand Kam se masturbait... Il le faisait en fantasmant sur vous, docteur Harrison."

    -- -- -- -- -- -- -- -- -- --

    Rizu emmena son fils à l'endroit secret où il travaillait. Il s'agissait en fait d'un institut caché sous la terre qui avait été battit dans le but ultime de créer des surhommes et des surfemmes. Mais si Rizu emmenait Kamille dans cet endroit, ce n'était pas pour le faire visiter... La principale raison pour laquelle il avait le droit de revenir dans le monde avec sa femme, c'est que son travail était d'étudier des candidats potentiels pour la transformation. Il cherchait principalement des orphelins, des gens qui ne seront pas manqués dans le monde. Son équipe était composée de Chloé Laureen, Zackary Warren et d'une toute nouvelle addition : Théodore Harrison. Ce dernier avait été infirmier pendant un temps, mais maintenant il venait d'obtenir le droit d'être de plus haut rang. Chloé l'avait prit sous son aile et s'en servait comme assistant. Ensemble, les 3 scientifiques essayaient de prouver qu'il était plus efficace de prendre des humains déjà formés et de les transformer plutôt que de créer une créature de toute pièce. Ils cherchaient à créer une chimère serpent, c'est un projet que Chloé tenait beaucoup à faire. Et Rizu avait été envoyé chercher le candidat. Comme il détestait son 'fils', il décida sur un coup de tête de se servir de lui pour l'expérience. S'il mourrait pendant les tests, qu'importe, une petite peste de moins dans ce monde pourris. Kamille était heureux que son père le remarque enfin et pour lui et sa maturitée d'enfant, ils allaient tous dans un immense parc d'attraction et ce serait super amusant. Il trépignait d'impatience, ignorant les regard haineux de son 'père' et les deux gros gardes du corps qui marchaient à leurs côtés. Quand ils entrèrent dans l'établissement, Kamille observa le tout comme un enfant qui aurait eut ses cadeaux de Noël trop tôt. Il demanda souvent à son père où ils étaient et qui étaient tous ces gens bizarres en chemises blanches qui se prommenaient en regardant leurs fiches, mais Rizu ne répondait pas, il se contentait de l'écarter du chemin et de lui dire de rester tranquille. Quand ils arrivèrent dans la salle spéciale, le docteur Laureen et le docteur Warren les attendaient. Zackary offrit un regard plus que surpris au jeune garçon et Chloé afficha un regard indéchiffrable. Pendant les prochaines minutes qui suivirent, Zackary refusa cathégoriquement de faire le projet sur un enfant aussi jeune. Normalement, l'âge minimum était de 12 ans. Rizu, lui, refusait de dire où il avait prit l'enfant et Chloé restait silencieuse, observant le gamin derrière ses lunettes. Kam, lui, se dandinnait d'un pied à l'autre en regardant ses pieds.

    Le docteur Laureen qui était le chef du projet, décida de l'entreprendre malgré la jeunesse de l'enfant. Son argument fut que ce serait l'occasion idéale de voir si la jeunesse du sujet allait être bénéfique ou non à l'expérience. Un docteur Warren hésitant quitta la salle en se rongeant les ongles et Rizu retourna à ses affaires sans jetter de regard à son fils. Kamille observait timidement son père, soudain effrayé. Il ne voulait pas qu'on le laisse seul dans ce monde qui était passé de super cool à super flippant en dedans de quelques minutes. Le docteur Laureen se pencha devant lui et prit un ton doucereux pour le calmer avant de le conduire à sa chambre. Kamille ne l'aimait pas déjà. Elle lui donnait l'impression de vouloir quelque chose de lui que son innocence ne lui permettait pas de comprendre et ça lui fichait la trouille. Pendant les jours qui suivirent, Kamille fut conduit à des salles innombrables où il fut palpé, testé et mis à l'épreuve par les trois scientifiques et par Théodore qui semblait fasciné par sa personne. Dès la première fois qu'il le vit, Kamille se sentit attiré par Théodore et intimidé. Il préférait quand c'était lui qui le touchait pour les test que les autres, en particulier Chloé. Elle, il la détestait et il frissonait de dégoût dès que ses doigts trop avides touchaient sa peau. Bientôt, il en eu marre de cet endroit et commença à se plaindre qu'il voudrait rentrer chez lui voir sa mère qui lui manquait tant. Rizu commença alors à le droguer pour l'empêcher de parler. Il avait peur que si ses collègues comprenaient qu'il vendait son propre fils, un jeune garçon avec une vie et des parents, ils refuseraient de continuer. Si les docteurs trouvèrent la nouvelle léthargie de leur patient annormale, ils ne dirent rien. Quand le jour fatidique arriva, on emmena Kamille dans une salle et sans lui expliquer, on le ficha dans un tube cylindrique en verre. Des infirmières lui enlevèrent ses vêtements, le laissant nu comme un vers devant des scientifiques froids. Juste avant de fermer la porte, Théodore entra avec lui pour lui injecter un liquide dans la bras avec une seringue. Il resta avec l'enfant un moment, le rassurant doucement de paroles murmurées. Quand Kamille fut seul dans le tube, sa vision commençait déjà à être floue. Au moment où il sombrait dans le sommeil, un masque fut posé sur son visage, couvrant son nez et sa bouche et un liquide visqueu fut envoyé dans le tube. La première étape était réussie, maintenant fallait attendre que le reste se fasse de lui même...

    Les mois qui suivirent furent tendus. Le projet avançait bien, mais la jeunesse de Kamille se trouvait à être un obstacle. Il était plus sensible et plus faible, ce qui rallentissait le processus. Chloé décida donc de falsifier les rapports et de classer secret l'âge du sujet. Après 6 mois, les gênes de serpent étaient finalemement stables dans le sang du gamin et quelques signes de reptiles apparaissaient tranquillement dans son système, des écailles sur le dos, des yeux changés et des dents plus pointues... Curieusement, le venin du spéciment serpent prélevé pour l'expérience n'affecta pas Kamille. Ses crocs restèrent innofensifs. Ce ne fut qu'après plusieurs autres mois de tests que le sujet fut fin prêt à être sortit du liquide et remit à la vie. On stimula son cerveau avec des chocs électriques. Quand Kam ouvrit les yeux pour la première fois, il surpris les scientifiques avec ses iris verts pénétrants. Le liquide quitta bientôt le tube et l'enfant observa son entourage sans afficher d'émotions. On sortit Kamille de son sanctuaire, vérifiant ses rétines et faisant quelques premiers tests. Les scientifiques enthousiasmes découvrirent que Kamille était en parfaite santé. Ils ne remarquèrent pas le regard haineux que Kam lança à Rizu. On aurait dit que l'expérience lui avait fait gagner de la maturité et qu'il avait finit par comprendre ce que son pseudo père lui avait fait... Avant que personne ne puisse réagir, Kam était à la gorge de son père et l'étranglait de gestes secs en sifflant comme un reptile, tremblant de rage. On tenta de le dégager de là, mais bientôt le visage du scientifique devint mauve, puis bleu, ses yeux terrifiés fixant un fils qu'il voyait pour la première fois. C'est dans un nouveau silence choqué que le cadavre de Rizu tomba dans un son lourd sur le sol. Kam souffla un moment, fixant le visage mort de son paternel. Il finit par remettre une expression neutre sur son visage et se tourner vers le docteur Laureen avec un air de défi. Celle-ci le fixa sans sciller et le serpent compris de son regard que son geste venait de l'allumer encore plus. Il sentit le bile remonter dans sa gorge et détourna les yeux, dégoûté. Après cet incident, Kam fut enfermé dans une chambre où on refusa de le laisser sortir. De nouveaux tests furent passés sur sa personne, pour découvrir si l'enfant était dangereux. On lui porta ses repas directement, sans oser lui donner la chance de rencontrer d'autres gens comme lui. Le temps passa lentement pour Kamille et bientôt, il commença à devenir renfermé et acide. C'est là que Théodore revint dans sa vie... Il était le seul qui osait s'approcher de lui et son sourire faisait battre son petit coeur blessé. Durant les années qui suivirent, les sentiments de Kamille envers le docteur devinrent plus profonds, plus forts.

    Il ne sut jamais que Théodore ressentait la même chose que lui. Le docteur cachait ce sentiment dont il avait honte, se trouvant dégoûtant d'aimer un enfant. Il commençait à se torturer l'esprit en se disant qu'il était un gros pédophile et qu'il ne méritait pas de vivre. Kamille, lui, n'ausait pas faire de gestes, pas habitué à ressentir ce genre d'émotions. Il fermait les yeux quand Théodore était assez proche pour humer son odeur et il profitait de tout contact physique, quel qu'il soit. Quand il atteignit ses 12 ans, les rêves commencèrent... Des rêves qu'il n'aurait pas du avoir avant quelques années. Il commença à rêver que son docteur le touchait plus intimement, à des endroits qu'il n'avait jamais vraiment exploré avant. Ces rêves devinrent pour le serpent, une sorte de drogue. Il y a quelques années avant cet événement, on avait décidé de laisser sortir Kam. Et bien qu'on ne lui présenta pas tout de suite les autres chimères, plus de gens venaient lui rendre visite. Bientôt, Kamille se rendit compte que ses sentiments envers Théodore semblaient aussi se reproduire pour certains autre individus, tous des hommes. Bien que le docteur Harrison détenait toute son affection, il lui arrivait souvent de voir un infirmier ou un scientifique et de se demander à quoi il ressemblerait sans ses vêtements ou quel genre de visage il ferait dans un moment de passion... Rapidement, il commença à se faire plaisir, à se toucher... À découvrir des parties de lui-même qu'il ne connaissait pas. Au début, ses sentiments lui firent peur. Mais bien vite, il comprit que c'était une partie de lui et finit par l'accepter. Après la découverte de l'infirmier qui le vit se masturber en fantasmant sur Théodore, comme il le faisait souvent, le docteur Laureen commença à lui poser des questions embarassantes et à faire des tests étranges sur sa personne. On découvrit bientôt que Kam souffrait depuis sa naissance de la maladie de la nymphomanie. Une maladie qui rendait la personne beaucoup plus sensible au sexe. Cette maladie donnait aussi à la personne, une envie telle de relations sexuelles qu'elle avait l'impression d'étouffer si elle n'en avait pas dans sa vie. Heureusement, la maladie était à des stades faibles... Quand Kamille apprit ce fait, il comprit rapidement la signification de ses sentiments pour Théodore. Sans que personne ne le sache, il commença à chercher dans des livres les définitions de sexe. Il trouva même des descriptions de positions qui nourrirent ses fantasmes pendant des mois. Kamille, maintenant plus confiant, commença à séduire Théodore, mais fut plus que frustré en voyant que le docteur restait de marbre...

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MessageSujet: Re: Kam Lesther -- CHIMÈRE -- /!\ Homophobes s'abstenir.[FINIE]   Kam Lesther -- CHIMÈRE -- /!\ Homophobes s'abstenir.[FINIE] Icon_minitimeJeu 17 Juil - 22:25
    Son coeur battait fort. Trop fort. Si fort qu'il était certain que Théodore pouvait l'entendre... Kam déglutit doucement en fixant la tête aux cheveux noirs de jais du docteur qui était concentré sur ce qu'il faisait. Comme le serpent souhaitait que Théodore lève les yeux et le regarde... Le regarde lui en tant qu'être vivant, pas comme un spécimen de laboratoire. Les mains de la chimère se serrèrent sur le maigre matelat recouvert de draps blancs et le regard violet du docteur Harrison quitta une fraction de seconde ses réflexions pour se figer sur les doigts tendus. Kamille, dans son état d'émotion extrême, ne remarqua pas son petit geste et finit par détourner le regard, les joues un peu plus rosées que d'habitude. Théodore fixa un moment son visage avec discrétion. Depuis que l'infirmier lui avait apprit cette... Chose qu'il ignorait sur Kamille, il avait vraiment du mal à garder leur relation comme avant. L'homme aurait voulut comprendre pourquoi Kam faisait cela, mais il n'ausait pas poser la question, comme si de pronnoncer de genre de mots briserait tout et rendrait la situation plus réelle. Il reposa très vite son regard sur le torse de Kam, qui était en ce moment nu. Théodore avait du mal à ignorer le fait que les mamelons de la chimère étaient dressés, ou encore le fait que son petit corps pas tout à fait formé lui faisait de drôles d'effet... Mais il tentait de se concentrer sur les battements de coeur erratiques qu'il entendait de son stétoscope, ignorant cette impulsion, cette envie qu'il avait de toucher Kamille. Ses doigts avaient déjà un mal fou à tenir le cercle rond contre le poitrail de Kam... Il n,avait jamais compris auparavant pourquoi le coeur de la chimère battait si vite quand il l'écoutait ainsi, mais aujourd'hui, il ne pouvait s'empêcher de se demander si ça avait un rapport... Avec lui... Théodore chassa rapidement cette pensée, sentant que sa bouche était soudain très sèche. Il se sentait coupable d'être attiré par un jeune adolescent si jeune... Ça le rendait presque malade de rêver à lui de cette façon, de vouloir toucher des parties de lui qu'il ne devrait pas vouloir toucher... Mais il n'arrivait pas à ignorer ses pensées. Elles continuaient de le narguer, attaquant quand il se pensait enfin guérrit... La chimère reposa de nouveau son regard sur le visage du docteur, notant pour la énième fois ses traits. Il venait de se raser. Kamille le savait parce que son menton avant recouvert d'une fine nouvelle barbe était maintenant nu. Pris sous une impulsion, Kam tendit fébrilement les doigts, mais arrêta sa main en chemin, hésitant. Il finit par les refaire bouger, doucement et en tremblant... La main se posa sur une joue, caressant très délicatement la peau nue et douce. Médusé par ses doigts sur la peau douce, la chimère ne remarqua pas que Théodore avait levé les yeux vers lui, le scrutant avec une question dans les yeux.

    La chimère finit par sourire, heureux de voir que le docteur était enfin enclin à prendre soin de sa personne. Il y a quelques temps, il avait vraiment été inquiet pour Théodore... Celui-ci ne dormait plus et ne semblait pas vouloir manger. Il entendait dans les corridors des murmures de ceux qui l'avaient vu... Ils disaient tous qu'il perdait la raison à cause d'un projet. Kamille avait vraiment été inquiet en entendant cela... Et, incapable de dire à Théodore qu'il voulait qu'il se sente mieux, il avait été réduit à l'observer à distance, ne trouvant pas les mots pour lui dire qu'il ne voulait pas le voir dans cet état. Bien sûr, si la chimère avait su que le docteur Harrison s'était conduit ainsi à cause de lui, parce qu'il lui était si fascinant qu'il ne pouvait penser à rien d'autre, la situation aurait été différente... TRÈS différente. Hélas, il n'était pas un illuminadore psychique et donc il ne pouvait pas lire dans les pensées. Kam se rendit vite compte qu'il affichait bien trop d'émotions sur son visage et que sa main qui caressait avant son menton s'était mise à caresser sa joue et avait finit par trouver son chemin dans ses épais cheveux noirs... Il stoppa tout mouvement et perdit son sourire, n'osant pas baisser le regard de la chevelure épaisse jusqu'aux yeux de Théodore, refusant de voir le refus dans ses iris violets. Après quelques secondes, deux yeux verts inquiets descendirent vers deux yeux violets scintillants d'émotions contenues. Quand le contact se fit, les deux individus se fixèrent longuement sans réaction, comme s'ils se voyaient pour la première fois. Kam n'osait plus bouger. Il n'osait plus respirer. Tout son corps tentait de comprendre la signification des étincelles qui dansaient dans les yeux du scientifique. Après un moment lourd, Théodore tendit les doigts, doucement. Il attendit quelques instants, sa main suspendue dans les airs... Kam compris en le voyant déglutir qu'il se battait avec lui-même. La chimère aurait voulut se rapprocher et embrasser ses lèvres tremblantes, lui montrer qu'il avait envie de lui... Mais il n'arrivait plus à bouger. Le scientifique finit par laisser tomber sa main et détourner le regard avant de se râteler la gorge et de se lever, se détournant de Kam. Il se pencha sur le côté et se saisit du chandail blanc trop simple avant de le passer sur la tête de la chimère sans dire un mot et sans la regarder. Kam leva d'un geste automatique les bras et quand son chandail fut bien en place, il fixant le dos de Théodore qui se reculait de sa personne. La chimère le regarda partir, la souffrance peignant ses traits. Il afficha un air déterminé, entrouvrit les lèvres et se leva avant de se précipiter vers le scientifique, le coeur battant la chamade.

    Bientôt, le scientifique put sentir Kamille collé contre son dos, les bras enroulés autour de sa taille d'homme. Il se figea, les doigts tendus vers une porte d'armoire. Son regard violet n'avait toujours par perdu ses étincelles et il tentait tant bien que mal de se reprendre, le coeur battant la chamade. La chimère colla son visage contre le dos de Théodore, arrivant au creux de ses homoplate. Il ferma les yeux et huma le parfum électrisant du docteur Harrison, sentant son corps frémir d'être enfin collé à celui qu'il... Aimait. Car c'était plus que de l'attirance désormais... C'était de l'amour.

    "Kam... Lâche-moi..."

    Le ton avait été très doux et délicat, comme quelqu'un parlant à un animal sauvage. Théodore avait tenté de rendre sa voix neutre et non emplie de toute l'émotion non contenue qu'il ressentait d'avoir la jeune chimère si près de lui. Son plus vif désir était de se retourner et de se pencher pour enfin goûtter aux lèvres de Kamille, mais il refusait de le faire, se sentant sale. Il sentit Kamille se tendre sur son dos et il sut rien qu'à ce mouvement quelle serait la réponse.

    "Non."

    Il sentit le jeune adolescent se mettre sur la pointe des pieds pour atteindre sa nuque et y déposer un baiser en soupirant d'aise. Des frissons agréables se répendirent dans son corps, naissant de sa nuque et mourrant entre ses deux cuisses. Théodore sentait déjà son membre réagir à la proximitée et il déglutit inconfortablement, panniquant en se disant que Kamille pourrait sentir sa demie-érection à tout moment... Il perdit le fil de ses pensées quand Kam colla son bassin contre le sien et qu'il put sentir que la chimère était elle aussi trop excitée par cette étreinte. Le ton que prit Kamille pour continuer était nerveux et montrait bien son inexpérience.

    "Ça fait si longtemps... Que je vous veux, docteur Harrison... Je... Je n'en peux plus de refouler mes désirs... Laissez-moi vous étreindre... Juste un moment..."

    Il y eut un silence gêné après cette admission. Kamille pensait dur comme fer que Théodore ne ressentait pas la même chose que lui. Il pensait que si le jeune homme ne réagissait pas à son étreinte, c'est que l'idée de coucher avec lui le répugnait. Ça lui faisait mal que son affection ne soit pas partagée et il se réconfortait dans cette étreinte. Kamille fermit les yeux, collant sa joue contre le dos musclé et encerclant la taille un peu plus, laissant ses mains à plat sur le bas du ventre du scientifique. Il se fichait qu'ainsi, le docteur Harrison pouvait parfaitement sentir son érection collée sur sa cuisse d'adulte... Il n'y pouvait rien si son odeur masculine et virile le faisait réagir et il ne pouvait s'empêcher de l'aimer, de le désirer... Si seulement Théodore pouvait partager ses sentiments... Le scientifique était dans un dilemme. Toutes les parties de son corps lui criaient de se retourner et de dire à Kam qu'il rêvait de ça lui aussi, mais il n'y arrivait pas. Il y avait encore ce doute, cette incertitude. Il finit par poser des mains délicates sur les poignets de Kamille et de se saisir deux pour tenter de les retirer de leur endroit. Sentant ses mains se faire retirer, Kam serra plus fort son étreinte, refusant de lâcher le scientifique. Mais Théodore étant plus fort que lui, il réussit à dégager ses mains de son corps. Le docteur se retourna alors, se saisissant de nouveau des poignet de la chimère et la plaquant contre la porte pour l'empêcher de l'étreindre de nouveau. Ses yeux cherchèrent ceux de Kamille, cherchant la permission... Le chimère scrutta avidement son regard, se demandant ce que Théodore voulait faire.

    "Pourquoi tu fais ça Kam... Pourquoi est-ce que tu me veux moi, alors que je suis assez vieux pour être ton père?"

    La chimère fixa les yeux violets de ses iris d'émeraudes. Il finit par soupirer et sourire doucement, ironiquement. Ses mains definrent moins tendues dans celles de Théodore et il se mit à fixer le milieu de son torse, cherchant la réponse sur le chandail gris du scientifique.

    "... Je ne sais pas docteur... J'ai essayé de comprendre... Et j'en suis venu à la conclusion que ça ne se contrôle pas. Je... Je crois... Que je vous aime..."

    Le coeur de Théodore ratta un bond. Il fixa Kamille comme s'il le voyait pour la première fois, ses mots résonnant dans son esprit. La chimère leva un regard timide vers Théodore, les joues légèrement rosées. Il était si irrésistible ainsi, se mordillant la lèvre de nervosité... Le docteur déglutit et avant qu'il n'ait eut le temps de se reprendre, le visage de la chimère s'était rapproché et il était aveuglé par ses magnifiques yeux verts. Dans l'espace de quelques secondes, les lèvres douces de Kamille étaient sur les siennes, hésitantes et nerveuses. Et doucement, Théodore fondit. Il fermit les yeux et se saisit de Kam, prenant ses hanches d'adolescent entre ses doigts et le collant plus contre la porte avant de l'embrasser plus posément. Il entendit un gémissement de surprise et sentit le corps de Kamille trembler sous le sien. Puis, les mains de Kam se posaient sur le bas de son dos et remontaient sur ses homoplates tandis que ses lèvres bougeaient nerveusement contre les siennes. Théodore apprit doucement à Kamille comment embrasser, sachant qu'il s'agissait de son premier baiser. Mais bientôt, la chimère voulut plus et dans un gémissement étranglé de sa part, elle se mit à l'embrasser plus fougeusement. En sentant une petite main fouineuse faire le tour de son profil pour venir toucher son torse, Théodore poussa une espèce de grognement, embrassant les lèvres de Kam avec une nouvelle avidité avant de piéger le corps jeune contre le sien. Il sentit Kamille trembler d'excitation et le vit ouvrir les yeux, stupéfait, en sentant son érection contre sa cuisse. Les deux jeunes gens s'observèrent pendant un moment, les lèvres entrouvertes et sentant leurs souffles chaud s'entre-mêler. Théodore se permit un sourire et montra enfin tout ce qu'il ressentait dans ses iris, laissant le loisir à la chimère de se noyer dans son amour et dans son désir difficilement contenu. Sa main vint caresser amoureusement la joue de Kam et il susura, la voix rauque :

    "Je suis moi aussi amoureux de toi, Kam Lesther."

    Le serpent scutta les profondeurs violettes, cherchant une preuve, n'importe quoi qui lui ferait comprendre que ceci n'était pas un rêve. Il finit par fermer les yeux et appuyer son visage contre la main qui caressait sa joue, une bulle de joie autour du corps. Quand la chimère réouvrit les yeux, il était difficile d'ignorer le désir pur qui s'y trouvait et elle se remit à embrasser avec passion les lèvres dont il avait toujours rêvé. Théodore se laissa faire, plaquant un peu plus le corps de Kamille contre la porte. Les mains de Kam se posèrent sur les côtés de sa chemise longue détachée et la firent tomber de ses épaules, découvrant ses bras musclés à la lueur des néons. Il passa ses doigts avides sur les muscles, tout en embrassant les lèvres de Théodore avec une fougue soudaine. Kam poussa un gémissement quand le scientifique incorpora sa langue dans le baiser et bientôt, tout deux furent tellement concentrés à se dévorer l'un l'autre qu'il fut difficile de former une pensée cohérente. Kamille finit par tirer avec insistance sur le chandail de Théodore et le baiser s'interrompit quelques secondes pour permettre à la chimère de retirer le morceau de tissus. Le serpent passa les prochaines secondes à fixer avidement le torse nu, notant les muscles tendus et les mamelons dressés en se passant une langue sur les lèvres, sentant son membre se dresser un peu plus. Théodore, brûlé par l'intensitée de son regard, poussa un grognement et attira Kam contre lui, plongeant la tête dans le cou offert pour l'embrasser doucement, puis sucer avidement la peau. Surpris par son geste, la chimère poussa un gémissement et enfonça ses ongles dans le dos du scientifique, fermant les yeux pour mieux ressentir les sensations délicieuses qui l'envahissait. Ce fut au tour de Théodore de retirer fébrilement le chandail et dès qu'il fut hors de vue, il laissa son regard remplit de désir parcourir la peau pâle et les mamelon prune. Incapable de résister, Théodore se pencha pour caresser la bille de chaire de ses lèvres avant de la goûter d'un coup de langue. Kam poussa un autre gémissement avant d'enfouir ses mains dans les cheveux du docteur, sentant son corps frémir sous les caresses. Pendant les prochaines minutes, Théodore le dévora complètement. Et quand le scientifique en eux finit avec les mamelon et le torse, il remonta le visage et se fit capturer dans un baiser encore plus sauvage et désireux qu'auparavant tandis que les mains de Kam venaient à se saisir de ses fesses pour rapprocher leurs bassins. En sentant leurs érections prisonnières de leur cellule de tissus se coller l'une à l'autre, le scientifique et la chimère poussèrent une exclamation de plaisir. Kam commença sans attendre un mouvement de va et vien électrisant, poussant des gémissements dans la bouche de Théodore qui finit par de saisir des hanches de Kamille et de l'emmener fébrilement vers le lit le plus proche, incapable d'attendre plus longtemps.

    Il coucha la chimère sur le lit, puis oeuvra à détacher le pantalon et à le descendre, tentant d'ignorer le regard enflammé que lui lançait Kam. Le bruit de leurs souffles erratiques envahissait la salle, seul bruit des environs.
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Kam Lesther
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MessageSujet: Re: Kam Lesther -- CHIMÈRE -- /!\ Homophobes s'abstenir.[FINIE]   Kam Lesther -- CHIMÈRE -- /!\ Homophobes s'abstenir.[FINIE] Icon_minitimeVen 18 Juil - 12:31
    Quand Théodore apperçut le boxer déformé par une érection impressionante, il s'humecta les lèvres. Baissant le sous-vêtement offensant, le scientifique put enfin voir le membre de Kam. Il passa quelques minutes à l'observer, sentant le regard timide de la chimère contre son visage. Comme médusé, le scientifique posa l'index sur la fente, tremblant d'excitation au gémissement rauque que poussa Kamille. Les doigts du docteur s'enfermèrent autour du membre dressé et commencèrent un mouvement délicat de va et vien. Kam souleva rapidement ses hanches du matelat pour se pousser contre la main et quand Théodore leva les yeux, il vit que celui-ci avait les yeux fermés et se cramponnait aux draps, poussant des sifflements de serpent excitants. Bientôt, le scientifique déglutit et remplaça ses mains par ses lèvres, voulant à tout pris goûtter cette érection qui lui faisait tant d'effet. Il vit une goutte de liquide transparant couler contre le membre dressé et la recueillit avec sa langue avant de prendre l'intimitée en bouche. Le râle que poussa Kam à ce moment là aurait pu servir à la faire venir sur le champs.

    "Thé... Théodore!"

    Le scientifique sentit son coeur faire un bond et il commença un mouvement de va et vien rapidement, passant sa langue sur la peau douce du membre de la chimère. Kamille devint très rapidement l'image même d'un dévergondé, les mains enfoncées dans les cheveux de Théodore, les hanches bougeant avec chaque mouvement et la bouche entrouverte laissant un filet de bave se démarquer au coin de ses lèvres. Bientôt, Kamille poussa un cri strident et força la bouche de Théodore à lâcher son membre qui était au point de non retour. Il le fixa dans les yeux et dit simplement :

    "Théodore... J'ai besoin que tu me prennes..."

    Le docteur déglutit difficilement et plongea vers son visage pour l'embrasser de nouveau avec fougue. Kam fermit les yeux et enfonça encore plus ses doigts dans ses cheveux, aillant besoin de sentir Théodore contre lui. Le docteur descendit une main et chercha l'intimité de la chimère qui lui permettrait de ne faire qu'un avec lui, enfin. Pendant plusieurs minutes, il oeuvra à le préparer en douceur et Kam finit par perdre patience. Il se saisit de la main qui était trop délicate et figea ses irs dans les siens.

    "Théodore... Je ne suis pas fait en crystal. Et puis... Mon corps est déjà prêt à te recevoir..."

    Kam rougit à cette admission et laissa le docteur le scruter du regard. Théodore fronça doucement les sourcils, tentant de comprendre le sens de ses mots.

    "Mais Kamille... Si... Si j'y vais maintenant, je vais te faire mal!"

    Kam déglutit difficilement tandis que ses joues prenaient une teinte plus rosée. Il força les mains de Théodore à remonter et entrelaça ses doigts avec les siens tout en continuant de le fixer dans les yeux. Quand il lui répondit, sa voix était petite et faible, comme si la gêne arrivait à le faire taire.

    "Je... Je pensais que tu ne voudrais jamais me... Me faire l'amour alors je... Je me suis contenté de mes doigts et de mon imagination alors... Tu peux y aller..."

    La bouche de Théodore devint soudainement très sèche. Des images de la chimère s'empalant sur ses propres doigts défilaient dans son esprit et il avait grand mal à garder le contrôle. Il poussa un soupir avant d'enfouir sa tête dans le creux du cou de Kam et de laisser le temps à son désir de se calmer un peu. Car dans son état, il blesserait très certainement Kamille et il préfèrait de loin crever que de faire ça un jour. Après un moment, il se saisit des hanches de Kam et lui murmura doucement à l'oreille qu'il y allait, histoire de le préparer... Et quand enfin leurs corps furent unis, le scientifique cru mourrir de plaisir. C'était si intense, si vrai, que Théodore avait un grand mal à le croire... Lui qui avait passé son temps à tenter de se convaincre que cela n'arriverait jamais, qu'il ne serait jamais assez bon pour Kam, qu'il devait oublier cette obsession... Il était difficile de pouvoir enfin se dire que finalement, cette obsession était partagée. De penser que la chimère le désirait aussi lui procurait un sentiment étrange de bonheur,,, Oui, Kamille le grisait. Et tandis que son orgasme atteignait des sommets, il ressentit le besoin d'observer les traits de Kam, de voir son magnifique visage... Il fut aveuglé par la vision edenique qui se trouvait devant ses yeux. Kam était si beau, si... Si fragile... Théodore sentit des doigts se crisper contre son dos et un corps s'arquer contre le sien, mais il n'avait de yeux que pour ce visage dont les traits montraient une chose : l'extase. Le plaisir. Kamille était magnifique. Kamille... Était sien.

    -- -- -- -- -- -- -- -- -- --

    Ce fut l'amour dès ce jour fatidique. Le docteur Harrison et la chimère serpent continuèrent à s'aimer en silence, trouvant tous les moyens du monde pour se voir, pour se toucher. Ils n'arrivaient plus à se défaire l'un l'autre... Ça devenait presqu'une obsession. Kam était sur un nuage, il ne pensait qu'à Théodore sans arrêt et dès qu'ils se retrouvaient seuls, il n'hésitait pas à lui montrer ses plus secrets fantasmes sans aucune gêne. Kamille se découvrit assez vite une face cachée qui le choqua grandement, une facette de pervers. Théodore, assez surpris de ses ardeurs, bien qu'il ne s'en plaigne pas, lui fit passer quelques tests et découvrit que le jeune homme avait besoin de beaucoup plus de contact sexuel pour survivre, d'une part à cause de son besoin de chaleur humaine et de l'autre parce qu'il était atteint de la maladie de la nymphomanie dans ses plus bas stades. Pendant plusieurs mois, personne ne découvrit rien de leur relation secrète, car les deux jeunes hommes furent habiles pour la cacher et tout semblait aller pour le mieux. À mesure qu'il grandissait en maturitée, Kamille devint plus sûr de lui-même et beaucoup moins timide. Si avant il rougissait facilement, surtout durant le sexe, c'était faux maintenant... Il devint aussi plus téméraire et fut souvent celui qui prit les initiatives avec Théodore. Celui-ci fut surpris du changement, mais ne s'en plaignit pas, aimant encore plus ce Kamille agressif et demandant. Kamille fut réellement amoureux de Théodore... C'est pourquoi quand il découvrit une chose qui le choqua que le scientifique avait faite, il souffrit beaucoup. Car en lisant des fichiers à son sujet, Kam découvrit qu'on lui avait effacé de la mémoire quelques événements de son passé avant ses 12 ans. Et ce fut Théodore qui lui effaça la mémoire. Le docteur Harrison lui avoua que c'était la vérité quand Kamille lui posa la question, mais il lui dit aussi que c'était pour son bien et qu'il ne pouvait pas lui dire quels événements avaient été effacés de sa mémoire. La chimère fut choquée de ses dires et devint plus renfermé à ce moment là, souffrant de s'être fait lâchement trahir par la personne en qui il avait le plus confiance. Le scientifique avait finit par découvrir que Rizu était en fait le père de Kamille... Ce qui se passa exactement, c'est qu'après que la chimère tua le docteur, Théodore fut tout de suite curieux. Il fit sa petite enquête et pendant plusieures années ne trouva rien. C'est en découvrant la vérité et en réalisant que Kamille avait été arraché à sa famille qu'il décida de lui effacer la mémoire. En faisant cela, la chimère ne se souviendrait plus de sa vie d'avant et n'aurait pas de remords... Il passa les prochaines années de sa vie à développer un sérum secret qu'il donna à Kamille par seringue lors de ses tests en secret. La chimère oublia donc progressivement quelques événements de sa vie sans même s'en rendre compte. Kam eut beau se forcer la tête pour se rappeler de ses souvenirs manquants, rien n'y fit.

    À partir de cet instant, la relation entre le scientifique et Kamille changea. La chimère avait 15 ans à l'époque. Kam l'aimait toujours, mais il avait du mal à lui pardonner son acte... Comme il se doutait que Théodore avait vraiment fait cela pour son bien, il n'en fit pas mention au docteur Laureen. En parlant de celle-là... Chloé avait remarqué très vite la nouvelle affection qui flamboyait au creu des yeux de Kamille pour le scientifique. Aussitôt verte de jalousie, elle eut un mal fou à continuer de travailler sans laisser parraître ses émotions. Kamille était pour elle SON projet et donc lui appartenait exclusivement... De penser que Théodore mettait les mains sur ce qui LUI appartenait lui donnait mal au coeur. Mais comme elle était mariée et ne voulait pas être accusée de pédophilie et qu'elle n'avait pas de preuve pour accuser Théodore à sa place, elle resta dans l'ombre, attendant son heure. Quand elle trouva enfin une raison pour renvoyer Théodore, cela faisait déjà plusieures années que Kam et le scientifique étaient ensemble. En fait, le docteur Harrison fit l'erreure de subtiliser des fichiers concernant Kamille sous l'oeil vigile d'une nouvelle caméra de surveillance installée dans les archives. Il s'agissait de documents sur Kamille, évidemment. Chloé le renvoya donc après une poursuite en justice et son heure de gloire l'empêcha de remarquer la souffrance que proccura son geste chez sa chimère tant adorée. Kamille devint alors froid er distant. Lui qui venait tout juste d'être présenté aux autres chimères, se fit vite une réputation d'antisociable chiant. Il devint rebel et se mit à porter des vêtements provoquant. Après quelques mois, il commença aussi à coucher avec pleins de gens différents, s'attirant rumeurs et froncements de sourcils. Chloé, qui cherchait toujours le moyen de le draguer, se fit attiser de son attitude et dans son esprit dérangé, était certaine qu'il, tentait de l'attirer. Donc, un soir, elle l'enferma dans sa chambre et mit ses désirs à nu devant lui, tentant de l'attacher au lit pour faire de lui ce qu'elle voulait. Par contre, elle ne s'attendait pas à ce que Kamille ne veuille pas d'elle. Et donc, quand celui-ci la repoussa, elle fut prise de rage et tenta de le forcer à avoir une relation sexuelle. Kam finit par l'étrangler et elle faillit mourrir. Si un infirmier n'était pas passé par là, c'était sans doute ce qui se serait passé. On vérifia la caméra de surveillance que Chloé avait oublié d'éteindre dans sa hâte et on chassa rapidement le docteur Laureen. Par contre, il ne fut jamais expliqué aux autres patients pourquoi elle dut quitter l'institut et plusieurs pensent que Kamille l'aurait tué.

    Dans les années qui suivirent, Kam devint encore plus cinique et froid. Il se mit à se foutre de tout et de tout le monde ai nsi qu'à ne plus se soucier des sentiments des autres... Il rencontra toute fois certaines personnes qui rendirent son monde plus joyeux, comme White Charly par exemple qui devint rapidement sa confidente, sa meilleure amie. Ce fut une des seules illuminadores qu'il put supporter et aujourd'hui, il n'est pas rare de les voir ensemble à se taquiner gentiment l'un l'autre. Il rencontra aussi d'autres chimères, comme Râ. Aaaaaaaah... Ce Râ... Dès le premier regard, il fut intrigué. Encore aujourd'hui, il est curieux, tente de s'approcher de cet être glacial et magnifique sans grand succès... Kam s'est promis d'apprendre à le connaître... Ou alors de coucher avec lui, parce qu'il faut l'admettre, le bélier est à tomber. Mais il y a les humains, comme Los, qui suffissen tà le divertir par leur beautée et leurs sourires pervers. Que se passera-t-il dans son avenir? Nul ne le sait... C'est ce qui est palpitant, non?


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C'est nul, berk, sale, niet, nada, recommence tout !!

*SHBAF* nié xD Magnifique fiche, mon Kamounet chéri a moiiiiii =D !!

Te voila donc Validé, Illuminadores Force ! *BANG* oui bon, j'ai bien le droit de débloquer un peu hein xD

*s'en va loin... loin... mais alors très loin... *
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